Pour faire face aux incidences de la crise dans les pays les moins avancés (PMA), il faudrait concevoir de nouvelles approches pour aider les PMA à se doter d'une économie plus résiliente et plus diversifiée, indique la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) dans le "Rapport 2009 sur les pays les moins avancés". La crise économique mondiale devrait avoir, dans les pays les moins avancés (PMA), des conséquences telles qu'il ne sera plus possible de "faire comme avant", indique le rapport, soulignant qu'il faudrait repenser le modèle de développement et concevoir des mesures novatrices et éclairées. La crise devrait être le point de départ d'une nouvelle approche du développement dans laquelle l'Etat jouerait un plus grand rôle, préconise la CNUCED dans le rapport. Selon le rapport, un Etat en développement devrait s'attacher tout particulièrement à mettre le savoir et l'apprentissage technologique au service du développement et s'efforcerait de promouvoir l'apprentissage et l'amélioration des produits et des procédés à travers une innovation de la conception et une différenciation des produits. Le rapport propose concrètement une autre stratégie économique et de nouvelles taches pour les décideurs dans les PMA, dont la mise en place de capacités institutionnelles et le renforcement d'un état en développement complémentaire du marché. Entre 2002 et 2008, les PMA ont connu une forte croissance économique, mais leurs résultats économiques positifs ont été plus particulièrement liés au niveau élevé des prix des produits de base, à des flux records de capitaux privés et à un accroissement de l'aide publique au développement (APD) et de l'allégement de la dette, indique la CNCED. Les 49 pays (33 en Afrique, 10 en Asie, 5 dans la région Pacifique et 1 dans les Caraïbes) comptent une population totale d'environ 850 millions de personnes. Pour faire face aux incidences de la crise dans les pays les moins avancés (PMA), il faudrait concevoir de nouvelles approches pour aider les PMA à se doter d'une économie plus résiliente et plus diversifiée, indique la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) dans le "Rapport 2009 sur les pays les moins avancés". La crise économique mondiale devrait avoir, dans les pays les moins avancés (PMA), des conséquences telles qu'il ne sera plus possible de "faire comme avant", indique le rapport, soulignant qu'il faudrait repenser le modèle de développement et concevoir des mesures novatrices et éclairées. La crise devrait être le point de départ d'une nouvelle approche du développement dans laquelle l'Etat jouerait un plus grand rôle, préconise la CNUCED dans le rapport. Selon le rapport, un Etat en développement devrait s'attacher tout particulièrement à mettre le savoir et l'apprentissage technologique au service du développement et s'efforcerait de promouvoir l'apprentissage et l'amélioration des produits et des procédés à travers une innovation de la conception et une différenciation des produits. Le rapport propose concrètement une autre stratégie économique et de nouvelles taches pour les décideurs dans les PMA, dont la mise en place de capacités institutionnelles et le renforcement d'un état en développement complémentaire du marché. Entre 2002 et 2008, les PMA ont connu une forte croissance économique, mais leurs résultats économiques positifs ont été plus particulièrement liés au niveau élevé des prix des produits de base, à des flux records de capitaux privés et à un accroissement de l'aide publique au développement (APD) et de l'allégement de la dette, indique la CNCED. Les 49 pays (33 en Afrique, 10 en Asie, 5 dans la région Pacifique et 1 dans les Caraïbes) comptent une population totale d'environ 850 millions de personnes.