L'association est partie prenante de plusieurs commissions et instances sportives du MJS, dont la commission nationale de fair-play. L'association est partie prenante de plusieurs commissions et instances sportives du MJS, dont la commission nationale de fair-play. L'Association nationale pour la promotion et le développement du sport féminin (ANPDSF) "adhère pleinement à la nouvelle politique de développement du sport prônée par le ministère de la Jeunesse et des Sports", avait indiqué à l'APS sa présidente, Mme Mirahba Assia en marge du festival national du sport féminin qui s'est déroulé à Ain Temouchent et dont la tenue a été possible, selon l'organisateur, grâce à l'enveloppe dégagée par le département Djiar. Ce 8e festival du sport féminin a vu la participation de 700 sportives venues de 29 wilayas. "Il n'y a pas de meilleurs indices sur la volonté politique d'encourager et de promouvoir la pratique sportive féminine" a commenté la présidente qui souligne que l'association qu'elle préside est, également, partie prenante de plusieurs commissions et instances sportives du MJS, dont la commission nationale de fair-play et de lutte contre la violence dans le sport, en plus de sa participation à de nombreuses conférences sur le développement du sport. Pour rappel, l'association a été créée en 1997, au niveau de 47 wilayas. Mme Mirahba Assia a signalé, par ailleurs, que sur les 47 bureaux de wilaya, 23 ont renouvelé leur bureau et 24 sont "mis en veilleuse pour manque de moyens". "Nous ferons tout pour les relancer", a-t-elle souligné. Avec pour objectif de "toucher les femmes non affiliées aux fédérations sportives", l'association est confrontée au volume de travail important à mener au niveau de plusieurs wilayas, où toutes les structures sportives doivent être "ouvertes à la gent féminine conformément aux instructions du ministre de la Jeunesse et des Sports", a-t-elle indiqué. D'autres objectifs de l'association visent la création de pôles de développement sportifs pour "former des élites", outre la consécration des jeunes de 17 ans et plus au niveau du festival. Parmi les wilayas pilotes dans ce cadre, il est relevé celles d'Alger, d'Oran, de Bejaia, de Constantine et d'Ain Temouchent. D'autres, à l'instar de Souk Ahras, Médéa, Mila, Oum El Bouaghi, Saida et Bordj Bou Areridj, sont en retard dans la pratique du sport féminin, a-t-on souligné. Les fédérations sportives et le Comité olympique doivent s'impliquer, selon elle, dans la politique de développement et de promotion du sport féminin. "De notre côté, nous avons lancé, cette année, la création d'écoles sportives pour l'échéance 2012, année olympique", a-t-elle déclaré. Les disciplines de football, d'athlétisme, de hand-ball et de basket-ball ont été choisies. S'agissant du grand prix d'été, l'association envisage de lui donner, en 2010, un caractère international. La 6e édition s'est déroulée, du 1er au 6 juillet courant à Tipasa. L. B. L'Association nationale pour la promotion et le développement du sport féminin (ANPDSF) "adhère pleinement à la nouvelle politique de développement du sport prônée par le ministère de la Jeunesse et des Sports", avait indiqué à l'APS sa présidente, Mme Mirahba Assia en marge du festival national du sport féminin qui s'est déroulé à Ain Temouchent et dont la tenue a été possible, selon l'organisateur, grâce à l'enveloppe dégagée par le département Djiar. Ce 8e festival du sport féminin a vu la participation de 700 sportives venues de 29 wilayas. "Il n'y a pas de meilleurs indices sur la volonté politique d'encourager et de promouvoir la pratique sportive féminine" a commenté la présidente qui souligne que l'association qu'elle préside est, également, partie prenante de plusieurs commissions et instances sportives du MJS, dont la commission nationale de fair-play et de lutte contre la violence dans le sport, en plus de sa participation à de nombreuses conférences sur le développement du sport. Pour rappel, l'association a été créée en 1997, au niveau de 47 wilayas. Mme Mirahba Assia a signalé, par ailleurs, que sur les 47 bureaux de wilaya, 23 ont renouvelé leur bureau et 24 sont "mis en veilleuse pour manque de moyens". "Nous ferons tout pour les relancer", a-t-elle souligné. Avec pour objectif de "toucher les femmes non affiliées aux fédérations sportives", l'association est confrontée au volume de travail important à mener au niveau de plusieurs wilayas, où toutes les structures sportives doivent être "ouvertes à la gent féminine conformément aux instructions du ministre de la Jeunesse et des Sports", a-t-elle indiqué. D'autres objectifs de l'association visent la création de pôles de développement sportifs pour "former des élites", outre la consécration des jeunes de 17 ans et plus au niveau du festival. Parmi les wilayas pilotes dans ce cadre, il est relevé celles d'Alger, d'Oran, de Bejaia, de Constantine et d'Ain Temouchent. D'autres, à l'instar de Souk Ahras, Médéa, Mila, Oum El Bouaghi, Saida et Bordj Bou Areridj, sont en retard dans la pratique du sport féminin, a-t-on souligné. Les fédérations sportives et le Comité olympique doivent s'impliquer, selon elle, dans la politique de développement et de promotion du sport féminin. "De notre côté, nous avons lancé, cette année, la création d'écoles sportives pour l'échéance 2012, année olympique", a-t-elle déclaré. Les disciplines de football, d'athlétisme, de hand-ball et de basket-ball ont été choisies. S'agissant du grand prix d'été, l'association envisage de lui donner, en 2010, un caractère international. La 6e édition s'est déroulée, du 1er au 6 juillet courant à Tipasa. L. B.