Nos interlocuteurs rappellent une fois de plus que les prix dépendent du sacro-saint tandem de «l'offre et de la demande» et assurent néanmoins que les produits sont «disponibles» mettant en cause, pour expliquer cette flambée somme toute inexpliquée, l'«anarchie» qui prévaut sur le marché. Nos interlocuteurs rappellent une fois de plus que les prix dépendent du sacro-saint tandem de «l'offre et de la demande» et assurent néanmoins que les produits sont «disponibles» mettant en cause, pour expliquer cette flambée somme toute inexpliquée, l'«anarchie» qui prévaut sur le marché. Une bonne nouvelle à l'horizon pour les ménages ! selon le porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj Tahar Boulenouar, contacté hier, les prix des produits de large consommation qui sont les fruits, légumes et viandes, vont baisser à partir de jeudi prochain, de 15 à 20%. Sans donner de plus amples précisions, Boulenouar a assuré que les prix «se stabiliseront de nouveau» à partir de la semaine prochaine, comme l'avait promis l'Union lors d'une conférence de presse tenue quelques jours avant le début du mois sacré. De son côté, Achour Boualem coordinateur membre de la Commission nationale des bouchers, dégage toute responsabilité quant à l'envolée des prix des viandes rouge et blanche observée au niveau de plusieurs marchés, soulignant que les prix pratiqués au niveau des marchés «populaires», comme c'est le cas à El Harrach et Kouba, n'excèdent pas les 300 DA pour le poulet éviscéré et 950 DA pour la viande rouge. Nos interlocuteurs rappellent une fois de plus que les prix dépendent du sacro-saint tandem de «l'offre et de la demande», et assurent néanmoins que les produits sont «disponibles» et mettent en cause, pour expliquer cette flambée somme toute inexpliquée, l'«anarchie» qui prévaut sur le marché. Toutefois, en dépit de toutes ces assurances quant à une désormais fort compromise re-stabilisation des prix, les ménages algériens ne semblent pas être au bout de leurs peines, et leurs inquiétudes ne sont pas près de connaître leur épilogue. Que nenni ! Tout n'est que fausses promesses et vœux pieux, les prix ayant atteint un stade de non retour ...en arrière. Pendant ce temps, l'Union nationale des commerçants se dit «impuissante» et rejette la balle dans le camp des «spéculateurs» et des «intermédiaires». Les pouvoirs publics ont certes tenté de remédier à la situation devenue problématique et entreprend des mesures, mais qui n'ont malheureusement eu peu ou carrément aucune incidence sur le cours des choses. Il n'y a qu'à voir la fulgurante ascension de la mercuriale qui ne veut décidément pas mettre un terme à une inflation endémique et qui aura usé les bourses déjà maigres de ménages absorbés par toutes sortes de dépenses, pour se rendre compte de l'inanité des mesures prises dans ce cadre. D'aucuns, économistes et observateurs, s'accordent à dire que tant que le marché national demeure dépendant des aléas du marché mondial, les prix à la consommation auront du mal à connaître une stabilité et, sans doute, la spéculation sur se poursuivra. Certes, pour le moment le gouvernement a entrepris la politique de subvention de certains de ces produits comme le lait, les céréales et la farine etc., pour maintenir les prix à leurs niveaux actuels, mais cette solution demeure «provisoire» et ne fait qu'«alourdir» les dépenses publiques, préviennent-ils. Pour surmonter définitivement le défi de l'inflation, les économistes sont formels : il n'y a d'autre moyen que la réduction de la dépendance vis-à-vis des importations, et ce, à travers la consolidation de la production locale. C'est justement dans ce cadre qu'entrent les récentes mesures contenues par la loi de finances complémentaire (LFC) 2009. Pour revenir à la cherté des produits de large consommation, en particulier durant ce mois de Ramadhan, l'on ne peut que constater avec une très forte dose d'effarement, la détresse des petites bourses face à une saignée qui en appellera d'autres dans quelques jours, avec des rentrées sociale et scolaire qui ne seront pas de tout repos pour ces pauvres âmes. Au niveau des différents marchés, la mercuriale fait fuir les plus téméraires des citoyens. Comment pouvait-il en être autrement, sachant que les prix de la viande (ovine, bovine) mais aussi des fruits et légumes ont atteint des cimes inacceptables. Jugez-en : la viande ovine cédée à 1100 DA, la tomate à plus de 80 DA/kg, les petits pois entre 80 et 100 DA/kg, les navets à plus de 50 DA/kg, l'œuf à 12 DA,… des chiffres qui parlent d'eux-mêmes. Une bonne nouvelle à l'horizon pour les ménages ! selon le porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj Tahar Boulenouar, contacté hier, les prix des produits de large consommation qui sont les fruits, légumes et viandes, vont baisser à partir de jeudi prochain, de 15 à 20%. Sans donner de plus amples précisions, Boulenouar a assuré que les prix «se stabiliseront de nouveau» à partir de la semaine prochaine, comme l'avait promis l'Union lors d'une conférence de presse tenue quelques jours avant le début du mois sacré. De son côté, Achour Boualem coordinateur membre de la Commission nationale des bouchers, dégage toute responsabilité quant à l'envolée des prix des viandes rouge et blanche observée au niveau de plusieurs marchés, soulignant que les prix pratiqués au niveau des marchés «populaires», comme c'est le cas à El Harrach et Kouba, n'excèdent pas les 300 DA pour le poulet éviscéré et 950 DA pour la viande rouge. Nos interlocuteurs rappellent une fois de plus que les prix dépendent du sacro-saint tandem de «l'offre et de la demande», et assurent néanmoins que les produits sont «disponibles» et mettent en cause, pour expliquer cette flambée somme toute inexpliquée, l'«anarchie» qui prévaut sur le marché. Toutefois, en dépit de toutes ces assurances quant à une désormais fort compromise re-stabilisation des prix, les ménages algériens ne semblent pas être au bout de leurs peines, et leurs inquiétudes ne sont pas près de connaître leur épilogue. Que nenni ! Tout n'est que fausses promesses et vœux pieux, les prix ayant atteint un stade de non retour ...en arrière. Pendant ce temps, l'Union nationale des commerçants se dit «impuissante» et rejette la balle dans le camp des «spéculateurs» et des «intermédiaires». Les pouvoirs publics ont certes tenté de remédier à la situation devenue problématique et entreprend des mesures, mais qui n'ont malheureusement eu peu ou carrément aucune incidence sur le cours des choses. Il n'y a qu'à voir la fulgurante ascension de la mercuriale qui ne veut décidément pas mettre un terme à une inflation endémique et qui aura usé les bourses déjà maigres de ménages absorbés par toutes sortes de dépenses, pour se rendre compte de l'inanité des mesures prises dans ce cadre. D'aucuns, économistes et observateurs, s'accordent à dire que tant que le marché national demeure dépendant des aléas du marché mondial, les prix à la consommation auront du mal à connaître une stabilité et, sans doute, la spéculation sur se poursuivra. Certes, pour le moment le gouvernement a entrepris la politique de subvention de certains de ces produits comme le lait, les céréales et la farine etc., pour maintenir les prix à leurs niveaux actuels, mais cette solution demeure «provisoire» et ne fait qu'«alourdir» les dépenses publiques, préviennent-ils. Pour surmonter définitivement le défi de l'inflation, les économistes sont formels : il n'y a d'autre moyen que la réduction de la dépendance vis-à-vis des importations, et ce, à travers la consolidation de la production locale. C'est justement dans ce cadre qu'entrent les récentes mesures contenues par la loi de finances complémentaire (LFC) 2009. Pour revenir à la cherté des produits de large consommation, en particulier durant ce mois de Ramadhan, l'on ne peut que constater avec une très forte dose d'effarement, la détresse des petites bourses face à une saignée qui en appellera d'autres dans quelques jours, avec des rentrées sociale et scolaire qui ne seront pas de tout repos pour ces pauvres âmes. Au niveau des différents marchés, la mercuriale fait fuir les plus téméraires des citoyens. Comment pouvait-il en être autrement, sachant que les prix de la viande (ovine, bovine) mais aussi des fruits et légumes ont atteint des cimes inacceptables. Jugez-en : la viande ovine cédée à 1100 DA, la tomate à plus de 80 DA/kg, les petits pois entre 80 et 100 DA/kg, les navets à plus de 50 DA/kg, l'œuf à 12 DA,… des chiffres qui parlent d'eux-mêmes.