La cité des 60 logements de Tidjelabine, à deux kilomètres de Boumerdès, se débat depuis sa création en 1994 dans des problèmes d'un autre âge. Les 60 familles qui y habitent se disent marginalisées et oubliées par les autorités locales car exclues des différents programmes de développement. L'absence d'espaces verts dans le quartier offre à la vue une image laide, des logements sont construits anarchiquement et des trottoirs non aménagés. La route qui mène vers ces logements est dans un état de dégradation avancé. Elle est même impraticable pour les piétons. Des nids-de-poule partout et des flaques d'eau se forment à la moindre précipitation. L'autre lacune dont les habitants se plaignent le plus concerne le raccordement anarchique et illicite de l'énergie électrique. En effet, des chutes de tension se produisent à la moindre tempête et la cité se trouve plongée dans le noir. Toutes les réclamations des citoyens sont demeurées vaines nous dit-on. En outre, la cité n'est pas raccordée au réseau AEP. L'alimentation provient des cités avoisinantes ou par des branchements illicites. «En été, nous éprouvons d'énormes difficultés pour nous approvisionner en ce liquide précieux qui se fait encore de plus en plus rare pendant cette saison», fulmine un habitant de la cité. Cette dernière n'est pas raccordée au réseau de gaz naturel alors que le réseau principal est distant de dix mètres des habitations. L'hiver est synonyme de cauchemar pour ces habitants en l'absence de gaz de ville dans la localité. La cité des 60 logements de Tidjelabine, à deux kilomètres de Boumerdès, se débat depuis sa création en 1994 dans des problèmes d'un autre âge. Les 60 familles qui y habitent se disent marginalisées et oubliées par les autorités locales car exclues des différents programmes de développement. L'absence d'espaces verts dans le quartier offre à la vue une image laide, des logements sont construits anarchiquement et des trottoirs non aménagés. La route qui mène vers ces logements est dans un état de dégradation avancé. Elle est même impraticable pour les piétons. Des nids-de-poule partout et des flaques d'eau se forment à la moindre précipitation. L'autre lacune dont les habitants se plaignent le plus concerne le raccordement anarchique et illicite de l'énergie électrique. En effet, des chutes de tension se produisent à la moindre tempête et la cité se trouve plongée dans le noir. Toutes les réclamations des citoyens sont demeurées vaines nous dit-on. En outre, la cité n'est pas raccordée au réseau AEP. L'alimentation provient des cités avoisinantes ou par des branchements illicites. «En été, nous éprouvons d'énormes difficultés pour nous approvisionner en ce liquide précieux qui se fait encore de plus en plus rare pendant cette saison», fulmine un habitant de la cité. Cette dernière n'est pas raccordée au réseau de gaz naturel alors que le réseau principal est distant de dix mètres des habitations. L'hiver est synonyme de cauchemar pour ces habitants en l'absence de gaz de ville dans la localité.