Deux nouveaux anticorps, qui se sont révélés très puissants, et qui pourraient conduire à la création d'un vaccin contre le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) du sida, ont été découverts par une équipe de chercheurs américains, dont les travaux ont été publiés jeudi. Ces chercheurs ont fait savoir qu'ils allaient maintenant essayer d'exploiter ces vulnérabilités du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) pour élaborer de nouvelles approches, afin de concevoir un vaccin. Ils espèrent empêcher ainsi l'infection responsable de plus de 25 millions de morts depuis 1981, surtout dans les pays en développement, particulièrement en Afrique subsaharienne. Ces puissants anticorps appelés "bNAbs" ont des capacités étendues de neutralisation du VIH, un virus difficile à combattre en raison de ses multiples et rapides mutations. Le processus par lequel ces anticorps ont été découverts va probablement révéler encore plus de vulnérabilités du virus, estiment ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine "Science". Ces chercheurs ont, en effet, travaillé sur un large échantillon de sang infecté provenant de 1.800 volontaires dans une dizaine de pays dont sept en Afrique subsaharienne, la Thaïlande, l'Australie, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. "Cette découverte représente en elle-même une percée prometteuse vers l'objectif de développer un vaccin efficace contre le sida car nous avons potentiellement une meilleure cible sur laquelle mobiliser nos efforts", a expliqué Wayne Koff. Ce dernier dirige une initiative mondiale pour un vaccin anti-sida, une organisation à but non lucratif présente dans 24 pays. Deux nouveaux anticorps, qui se sont révélés très puissants, et qui pourraient conduire à la création d'un vaccin contre le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) du sida, ont été découverts par une équipe de chercheurs américains, dont les travaux ont été publiés jeudi. Ces chercheurs ont fait savoir qu'ils allaient maintenant essayer d'exploiter ces vulnérabilités du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) pour élaborer de nouvelles approches, afin de concevoir un vaccin. Ils espèrent empêcher ainsi l'infection responsable de plus de 25 millions de morts depuis 1981, surtout dans les pays en développement, particulièrement en Afrique subsaharienne. Ces puissants anticorps appelés "bNAbs" ont des capacités étendues de neutralisation du VIH, un virus difficile à combattre en raison de ses multiples et rapides mutations. Le processus par lequel ces anticorps ont été découverts va probablement révéler encore plus de vulnérabilités du virus, estiment ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine "Science". Ces chercheurs ont, en effet, travaillé sur un large échantillon de sang infecté provenant de 1.800 volontaires dans une dizaine de pays dont sept en Afrique subsaharienne, la Thaïlande, l'Australie, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. "Cette découverte représente en elle-même une percée prometteuse vers l'objectif de développer un vaccin efficace contre le sida car nous avons potentiellement une meilleure cible sur laquelle mobiliser nos efforts", a expliqué Wayne Koff. Ce dernier dirige une initiative mondiale pour un vaccin anti-sida, une organisation à but non lucratif présente dans 24 pays.