La silicose est l'encombrement des voies respiratoires du patient, par l'inhalation de la poussière, la silice. Aucun traitement curatif n'est possible. «Cette redoutable maladie contractée par les jeunes tailleurs de pierre nécessite d'abord une prévention» clament les médecins. La silicose est l'encombrement des voies respiratoires du patient, par l'inhalation de la poussière, la silice. Aucun traitement curatif n'est possible. «Cette redoutable maladie contractée par les jeunes tailleurs de pierre nécessite d'abord une prévention» clament les médecins. La terrible affection respiratoire a encore frappé dans la wilaya de Batna où dix personnes souffrantes ont fait l'objet d'oxygénothérapie à domicile dans la région montagneuse au sud de la capitale des Aurès. Ces patients sont arrivés à un stade avancé de l'évolution de leur pathologie dont la fin est inéluctablement la mort. A titre d'information, il faut rappeler que la silicose est l'encombrement des voies respiratoires du patient par l'inhalation de la poussière, la silice, aucun traitement curatif n'est possible. «Cette redoutable maladie contractée par les jeunes tailleurs de pierre, nécessite d'abord une prévention» clament les médecins. D'ailleurs, un séminaire national a été initié en 2008 par le pneumologue batnéen Hamizi qui attend toujours la promulgation de textes reconnaissant les conséquences invalidant à vie et, du coup, une impérative prise en charge par l'Etat. A l'époque, l'on avait recensé plus de 34 décès et 500 malades passifs. Ce sont plus de 500 jeunes (17-40 ans) des zones montagneuses (T'kout-Arris, Tighanimine) qui activent dans 26 wilayas (Alger, Oran, Constantine, Tizi Ouzou, Annaba). Ils édifient de superbes façades de villas, moyennant un fort pécule. Le revers de la médaille est l'insouciance manifeste de moyens de prévention à l'exemple d'outils spéciaux. En outre, l'absence de réglementation pour l'exercice de ce métier complique le suivi et le malade n'est détecté qu'au stade final de l'évolution de la maladie. La brigade de la santé publique supporte alors des frais exorbitants . Les appels récurrents des praticiens via des séminaires et autres saisines des pouvoirs publics ne trouvent pas d'échos. Les Aurès se contentent de compter les morts. La terrible affection respiratoire a encore frappé dans la wilaya de Batna où dix personnes souffrantes ont fait l'objet d'oxygénothérapie à domicile dans la région montagneuse au sud de la capitale des Aurès. Ces patients sont arrivés à un stade avancé de l'évolution de leur pathologie dont la fin est inéluctablement la mort. A titre d'information, il faut rappeler que la silicose est l'encombrement des voies respiratoires du patient par l'inhalation de la poussière, la silice, aucun traitement curatif n'est possible. «Cette redoutable maladie contractée par les jeunes tailleurs de pierre, nécessite d'abord une prévention» clament les médecins. D'ailleurs, un séminaire national a été initié en 2008 par le pneumologue batnéen Hamizi qui attend toujours la promulgation de textes reconnaissant les conséquences invalidant à vie et, du coup, une impérative prise en charge par l'Etat. A l'époque, l'on avait recensé plus de 34 décès et 500 malades passifs. Ce sont plus de 500 jeunes (17-40 ans) des zones montagneuses (T'kout-Arris, Tighanimine) qui activent dans 26 wilayas (Alger, Oran, Constantine, Tizi Ouzou, Annaba). Ils édifient de superbes façades de villas, moyennant un fort pécule. Le revers de la médaille est l'insouciance manifeste de moyens de prévention à l'exemple d'outils spéciaux. En outre, l'absence de réglementation pour l'exercice de ce métier complique le suivi et le malade n'est détecté qu'au stade final de l'évolution de la maladie. La brigade de la santé publique supporte alors des frais exorbitants . Les appels récurrents des praticiens via des séminaires et autres saisines des pouvoirs publics ne trouvent pas d'échos. Les Aurès se contentent de compter les morts.