Cette eau, selon les spécialistes, ne subit en fait qu'une analyse bactériologique et n'est soumise à aucune analyse physique et chimique pour déterminer la composition minérale du liquide. Cette eau, selon les spécialistes, ne subit en fait qu'une analyse bactériologique et n'est soumise à aucune analyse physique et chimique pour déterminer la composition minérale du liquide. Inquiets par la qualité douteuse des eaux desservies à la consommation domestique, des citoyens de la banlieue sud, au douar Eddiss, cité Amirouche(1.200) et cité colonel-Lotfi ( SAE), se sont pris en charge, devant la surdité des services concernés et ont présenté des échantillons en flacons aux services de santé pour analyse. Il leur sera répondu que le laboratoire des services de santé, qui procède à ces analyses presque quotidiennement n'a signalé à ce jour aucune anomalie. L'eau est potable ne présentant aucun risque. Mais il s'est avéré que cette eau «potable» est de couleur ocre, nauséabonde avec un goût avéré d'eau usée et, pis encore, chargée de boue et d'éléments sablonneux. Cette eau, selon les spécialistes, ne subit en fait qu'une analyse bactériologique et n'est soumise à aucune analyse physique et chimique pour déterminer la composition minérale du liquide. L'ADE et les autorités s'en lavent les mains, du moment qu'ils ne sont pas face à une épidémie bactériologique et tant pis pour la contraction de pathologies calcaires. D'ailleurs, le nombre de malades rénaux est en nette progression dans la wilaya de Batna. Ce constat sur une denrée aussi sensible est vérifiable par le commun des mortels et ne trouve pas d'écoute au niveau de toutes les structures étatiques avisées sur cette situation qui perdure depuis le début du mois du mois de ramadhan. Les services techniques de l'ADE, constamment sur le terrain, avisent que les pannes sur le réseau nécessitent des interventions et que la couleur ocre se dissipera avec le temps. Mais cela dure et les citoyens, cédant à la panique, se sont tournés pour les plus aisés vers les eaux minérales. Les démunis s'approvisionnent chez les propriétaires de puits privés. "A qui se plaindre pour une alerte d'intérêt général ?" se lamente une vieille femme du quartier bidonville en pleine cité immobilière dite 1.272. A titre d'information, il faut noter qu'avant la mise en eau du barrage de Timgad et le transfert de ses eaux vers Batna, ces quartiers étaient pourvus à partir de forages en eaux défiant celles dites minérales aux prix exorbitants et inaccessibles aux petites bourses. Pour conclure, il est connu que les eaux affluentes aux barrages attendent toujours l'achèvement de la station d'épuration en cours de réalisation. Cependant, elles bénéficient de traitement au chlore au niveau de la commune de Ain El Assafer, située à 11 km de Timgad, sur le couloir devant alimenter Barika et Ain Touta. Inquiets par la qualité douteuse des eaux desservies à la consommation domestique, des citoyens de la banlieue sud, au douar Eddiss, cité Amirouche(1.200) et cité colonel-Lotfi ( SAE), se sont pris en charge, devant la surdité des services concernés et ont présenté des échantillons en flacons aux services de santé pour analyse. Il leur sera répondu que le laboratoire des services de santé, qui procède à ces analyses presque quotidiennement n'a signalé à ce jour aucune anomalie. L'eau est potable ne présentant aucun risque. Mais il s'est avéré que cette eau «potable» est de couleur ocre, nauséabonde avec un goût avéré d'eau usée et, pis encore, chargée de boue et d'éléments sablonneux. Cette eau, selon les spécialistes, ne subit en fait qu'une analyse bactériologique et n'est soumise à aucune analyse physique et chimique pour déterminer la composition minérale du liquide. L'ADE et les autorités s'en lavent les mains, du moment qu'ils ne sont pas face à une épidémie bactériologique et tant pis pour la contraction de pathologies calcaires. D'ailleurs, le nombre de malades rénaux est en nette progression dans la wilaya de Batna. Ce constat sur une denrée aussi sensible est vérifiable par le commun des mortels et ne trouve pas d'écoute au niveau de toutes les structures étatiques avisées sur cette situation qui perdure depuis le début du mois du mois de ramadhan. Les services techniques de l'ADE, constamment sur le terrain, avisent que les pannes sur le réseau nécessitent des interventions et que la couleur ocre se dissipera avec le temps. Mais cela dure et les citoyens, cédant à la panique, se sont tournés pour les plus aisés vers les eaux minérales. Les démunis s'approvisionnent chez les propriétaires de puits privés. "A qui se plaindre pour une alerte d'intérêt général ?" se lamente une vieille femme du quartier bidonville en pleine cité immobilière dite 1.272. A titre d'information, il faut noter qu'avant la mise en eau du barrage de Timgad et le transfert de ses eaux vers Batna, ces quartiers étaient pourvus à partir de forages en eaux défiant celles dites minérales aux prix exorbitants et inaccessibles aux petites bourses. Pour conclure, il est connu que les eaux affluentes aux barrages attendent toujours l'achèvement de la station d'épuration en cours de réalisation. Cependant, elles bénéficient de traitement au chlore au niveau de la commune de Ain El Assafer, située à 11 km de Timgad, sur le couloir devant alimenter Barika et Ain Touta.