Les habitants des quartiers populaires situés dans les zones inondables ou dont les systèmes d'évacuation des eaux pluviales sont toujours défectueux, ont vécu un véritable supplice la nuit de jeudi à vendredi. Les pluies diluviennes qui se sont abbatues sur la ville de Sidi Brahim, avant hier, ont inondé, voire submergé certains quartiers, à l'instar de Oued Forcha et Rizi Amor, où les eaux infiltrées ont atteint parfois 1m de hauteur. Ce qui a, évidemment, une fois de plus, provoqué l'ire des habitants qui ont érigé des barricades et bloqué la circulation sur de nombreux axes routiers hier. «C'est pire qu'avant, on nous a dupés avec de pseudos travaux confiés à des entreprises privées qui se sont fait un argent fou sur notre dos et voilà le résultat, nos maisons et nos quartiers sont carrément submergés par les eaux», dénoncent les protestataires. à Oued Forcha, les riverains ont frôlé le pire, les eaux de l'oued débordent et celles qui descendaient de la montagne, charriant de la boue lourde, ont emporté nombre de voitures, sur plusieurs centaines de mètres et obstrué davantage les canalisations dont les buses et les avaloirs ne fonctionnent plus. Même spectacle de désolation aux cités la Colonne et l'Elisa où les habitants ont passé une nuit cauchemardesque, surveillant avec angoisse la montée des eaux. D'où les questions que se posent à présent l'opinion annabie. "Jusqu'à quand les familles des quartiers exposés doivent-elles endurer ce calvaire ?» Le wali va-t-il sanctionner les entreprises défaillantes, responsables de cet énorme gâchis alors qu'elles ont empoché des centaines de milliards pour des travaux qui n'ont pas tenu aux premières chutes de pluie ?" Les habitants des quartiers populaires situés dans les zones inondables ou dont les systèmes d'évacuation des eaux pluviales sont toujours défectueux, ont vécu un véritable supplice la nuit de jeudi à vendredi. Les pluies diluviennes qui se sont abbatues sur la ville de Sidi Brahim, avant hier, ont inondé, voire submergé certains quartiers, à l'instar de Oued Forcha et Rizi Amor, où les eaux infiltrées ont atteint parfois 1m de hauteur. Ce qui a, évidemment, une fois de plus, provoqué l'ire des habitants qui ont érigé des barricades et bloqué la circulation sur de nombreux axes routiers hier. «C'est pire qu'avant, on nous a dupés avec de pseudos travaux confiés à des entreprises privées qui se sont fait un argent fou sur notre dos et voilà le résultat, nos maisons et nos quartiers sont carrément submergés par les eaux», dénoncent les protestataires. à Oued Forcha, les riverains ont frôlé le pire, les eaux de l'oued débordent et celles qui descendaient de la montagne, charriant de la boue lourde, ont emporté nombre de voitures, sur plusieurs centaines de mètres et obstrué davantage les canalisations dont les buses et les avaloirs ne fonctionnent plus. Même spectacle de désolation aux cités la Colonne et l'Elisa où les habitants ont passé une nuit cauchemardesque, surveillant avec angoisse la montée des eaux. D'où les questions que se posent à présent l'opinion annabie. "Jusqu'à quand les familles des quartiers exposés doivent-elles endurer ce calvaire ?» Le wali va-t-il sanctionner les entreprises défaillantes, responsables de cet énorme gâchis alors qu'elles ont empoché des centaines de milliards pour des travaux qui n'ont pas tenu aux premières chutes de pluie ?"