La rentrée scolaire génère moults désagréments et problèmes pour les parents d'élèves, en dehors du casse-tête des tabliers qui ne cesse de faire couler encre et salive, les parents déplorent, également, l'absence de sécurité aux abords des établissements scolaires. L'intégrité physique et parfois la vie même de leurs enfants sont bien trop souvent soumises à l'inconscience des chauffards. Ce qui est particulièrement dénoncé par les parents inquiets pour la sécurité de leurs chérubins, c'est surtout le manque flagrant de passerelles. Ces passages indispensables et pouvant leur éviter de traverser les routes et s'exposer ainsi aux accidents. Cette absence oblige les petits écoliers à traverser parfois des routes à grande circulation avec tous les dangers que cela suppose. Des dizaines de points noirs et non dotés de passerelles ont été repérés à Ben Aknoun, Draria, Bab Ezzouar et d'autres localités. Les parents d'élèves ne cachent pas leur grande angoisse quant à la sécurité de leur progéniture qu'ils ne peuvent accompagner quotidiennement et surtout quatre fois par jour. La rentrée scolaire génère moults désagréments et problèmes pour les parents d'élèves, en dehors du casse-tête des tabliers qui ne cesse de faire couler encre et salive, les parents déplorent, également, l'absence de sécurité aux abords des établissements scolaires. L'intégrité physique et parfois la vie même de leurs enfants sont bien trop souvent soumises à l'inconscience des chauffards. Ce qui est particulièrement dénoncé par les parents inquiets pour la sécurité de leurs chérubins, c'est surtout le manque flagrant de passerelles. Ces passages indispensables et pouvant leur éviter de traverser les routes et s'exposer ainsi aux accidents. Cette absence oblige les petits écoliers à traverser parfois des routes à grande circulation avec tous les dangers que cela suppose. Des dizaines de points noirs et non dotés de passerelles ont été repérés à Ben Aknoun, Draria, Bab Ezzouar et d'autres localités. Les parents d'élèves ne cachent pas leur grande angoisse quant à la sécurité de leur progéniture qu'ils ne peuvent accompagner quotidiennement et surtout quatre fois par jour.