Grâce aux projets de réalisation de 40 digues de dérivation des eaux de crue dont la réception s'effectuera progressivement entre 2009 et 2012, on prévoit une augmentation de 500.000 unités fourragères. Ainsi la production de fourrage de la wilaya de M'sila passera, dans les deux prochaines années, à 1,5 million d'unités fourragères contre un million actuellement. D'ici 2012, quelque 182 ouvrages de ce genre seront réalisés à travers la wilaya sur des sites répondant aux critères exigés pour leur implantation, notamment l'existence d'un réseau hydrographique et une vaste étendue des aires de ruissellement. Cette production couvre les besoins annuels de 500.000 bêtes, soit 30% de plus que le cheptel de la wilaya. L'autorité administrative interdit le pacage lorsque l'état de dégradation du sol est assez avancé, dans ce cas on dit que le terrain est en défens. Ces ouvrages hydriques ont "montré leur efficacité" en permettant, notamment, la régénération des parcours arrosés, offrant ainsi aux éleveurs un substitut aux terrains de pacage mis en défens. Outre la protection des parcours, il est prévu, selon les services du HCDS, l'extension des aires des plantations fourragères irriguées dans plusieurs communes ayant réussi au cours des dernières années, inclure l'Atriplex (un genre de plante constituant un fourrage de bonne qualité), dans leur production fourragère limitée par le passé à l'orge et l'avoine. Grâce aux projets de réalisation de 40 digues de dérivation des eaux de crue dont la réception s'effectuera progressivement entre 2009 et 2012, on prévoit une augmentation de 500.000 unités fourragères. Ainsi la production de fourrage de la wilaya de M'sila passera, dans les deux prochaines années, à 1,5 million d'unités fourragères contre un million actuellement. D'ici 2012, quelque 182 ouvrages de ce genre seront réalisés à travers la wilaya sur des sites répondant aux critères exigés pour leur implantation, notamment l'existence d'un réseau hydrographique et une vaste étendue des aires de ruissellement. Cette production couvre les besoins annuels de 500.000 bêtes, soit 30% de plus que le cheptel de la wilaya. L'autorité administrative interdit le pacage lorsque l'état de dégradation du sol est assez avancé, dans ce cas on dit que le terrain est en défens. Ces ouvrages hydriques ont "montré leur efficacité" en permettant, notamment, la régénération des parcours arrosés, offrant ainsi aux éleveurs un substitut aux terrains de pacage mis en défens. Outre la protection des parcours, il est prévu, selon les services du HCDS, l'extension des aires des plantations fourragères irriguées dans plusieurs communes ayant réussi au cours des dernières années, inclure l'Atriplex (un genre de plante constituant un fourrage de bonne qualité), dans leur production fourragère limitée par le passé à l'orge et l'avoine.