L'Iran qui assure que son programme nucléaire est à caractère purement civil, a réaffirmé hier que son nouveau site d'enrichissement d'uranium ne violait aucune loi internationale estimant que les craintes de l'Occident à propos de cette usine étaient sans fondement. La nouvelle usine en construction près de Qom (centre) "ne viole aucune loi internationale. Les pays occidentaux se livrent à des commentaires qui ne sont pas réalistes", a déclaré à la presse le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Hassan Ghashghavi. "Les allégations (...), le battage médiatique, sont sans fondement", a poursuivi le porte-parole, en référence aux déclarations de protestation des dirigeants occidentaux. "L'Iran est prêt à clarifier tous les aspects de la nouvelle usine nucléaire", a-t-il poursuivi. Vendredi, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) avait annoncé que l'Iran l'avait informée de la construction de cette nouvelle usine en plus de celle de Natanz (centre). Téhéran a assuré que ce second site serait placé sous la supervision de l'AIEA avec laquelle il fixera une date d'inspection. Dimanche, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) Ali Akbar Salehi a affirmé que son pays n'avait pas l'intention d'enrichir plus de 5% d'uranium 235, soit un taux compatible avec des activités nucléaires civiles, dans sa nouvelle usine. L'Iran est soupçonné par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) de chercher à développer des activités nucléaires qui pourraient lui servir à obtenir l'arme nucléaire. Mais Téhéran insiste sur le caractère purement civil de son programme nucléaire, affirmant qu'étant signataire du Traité de non-prolifération (TNP), le pays a le droit d'enrichir de l'uranium à des fins pacifiques. L'Iran qui assure que son programme nucléaire est à caractère purement civil, a réaffirmé hier que son nouveau site d'enrichissement d'uranium ne violait aucune loi internationale estimant que les craintes de l'Occident à propos de cette usine étaient sans fondement. La nouvelle usine en construction près de Qom (centre) "ne viole aucune loi internationale. Les pays occidentaux se livrent à des commentaires qui ne sont pas réalistes", a déclaré à la presse le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Hassan Ghashghavi. "Les allégations (...), le battage médiatique, sont sans fondement", a poursuivi le porte-parole, en référence aux déclarations de protestation des dirigeants occidentaux. "L'Iran est prêt à clarifier tous les aspects de la nouvelle usine nucléaire", a-t-il poursuivi. Vendredi, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) avait annoncé que l'Iran l'avait informée de la construction de cette nouvelle usine en plus de celle de Natanz (centre). Téhéran a assuré que ce second site serait placé sous la supervision de l'AIEA avec laquelle il fixera une date d'inspection. Dimanche, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) Ali Akbar Salehi a affirmé que son pays n'avait pas l'intention d'enrichir plus de 5% d'uranium 235, soit un taux compatible avec des activités nucléaires civiles, dans sa nouvelle usine. L'Iran est soupçonné par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) de chercher à développer des activités nucléaires qui pourraient lui servir à obtenir l'arme nucléaire. Mais Téhéran insiste sur le caractère purement civil de son programme nucléaire, affirmant qu'étant signataire du Traité de non-prolifération (TNP), le pays a le droit d'enrichir de l'uranium à des fins pacifiques.