L'immunité pénale dont bénéficie le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi en vertu de la loi Alfano adoptée en juillet 2008, six semaines seulement après son retour au pouvoir, sera décortiquée demain et pourrait être annulée par la cour institutionnelle à Rome. Toutes les poursuites judiciaires visant M. Berlusconi seraient alors débloquées par l'ex-juge anti-corruption, Antonio Dipiedro, chef du parti italien des valeurs et l'un des détracteurs les plus virulents de Berlusconi; «le lodo Alfano est un sauf-conduit qui démontre (…) que Berlusconi mobilise la politique sans se soucier de ses ennuis judiciaires. A court terme, Berlusconi n'est pas menacé dans ses fonctions car il dispose d'une importante majorité parlementaire grâce à son alliance avec la ligue du nord (populiste). L'immunité pénale dont bénéficie le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi en vertu de la loi Alfano adoptée en juillet 2008, six semaines seulement après son retour au pouvoir, sera décortiquée demain et pourrait être annulée par la cour institutionnelle à Rome. Toutes les poursuites judiciaires visant M. Berlusconi seraient alors débloquées par l'ex-juge anti-corruption, Antonio Dipiedro, chef du parti italien des valeurs et l'un des détracteurs les plus virulents de Berlusconi; «le lodo Alfano est un sauf-conduit qui démontre (…) que Berlusconi mobilise la politique sans se soucier de ses ennuis judiciaires. A court terme, Berlusconi n'est pas menacé dans ses fonctions car il dispose d'une importante majorité parlementaire grâce à son alliance avec la ligue du nord (populiste).