Des dizaines de sièges d'APC dans la capitale, sont cernés par une multitude d'étalages informels , implantés par les jeunes chômeurs, pratiquant ainsi impunément leur activité illégale au nez et à la barbe des autorités communales. Des dizaines de sièges d'APC dans la capitale, sont cernés par une multitude d'étalages informels , implantés par les jeunes chômeurs, pratiquant ainsi impunément leur activité illégale au nez et à la barbe des autorités communales. Le nouveau phénomène, qui se a vu le jour, ces derniers temps dans la capitale, est le fait que des sièges d'APC sont complètement cernés par le commerce informel. Des dizaines de sièges d'APC dans Alger sont ainsi entourés par des centaines d'étalage implantées par des jeunes pratiquant ainsi leur activité commerciale de la manière la plus ordinaire, sans que cela ne fasse réagir nullement les autorités communales. On a vu bien d'endroits insolites squattés par ces jeunes commerçants informels, à l'image d'une agence bancaire à Belcourt, mais étaler ce commerce sous le nez ce ceux censés le combattre !, il faut avouer que cela est peu commun. On arrive à se demander comment des APC qui n'arrive à balayer devant leurs propres seuils, arriverront-elles à remettre de l'ordre ailleurs. Parmi les APC concernés par ce phénomène, nous pouvons citer le siège de l'assemblée élue dans la localité de Bab El-Oued. Localité réputée pour le commerce informel qui la gangène et régne en maître absolu sur les lieux. Les trois façades du siège de l'APC sont squattés, grands seigneurs les vendeurs à la sauvette ont épargné l'entrée principale. Tout se vend et s'achète à proximité de ces mairies. Les responsable et élus passent quotidiennement devant ces étals sans que cela ne les indispose, puisqu'ils n'ont pas daigné mettre un terme à cette anarchie qui affecte leurs propres sièges. Nous pouvons également citer le siège d'APC d'El Biar. La placette située juste en face du siège de l'APC, à savoir la place Kennedy, de même que les ruelles aux alentours sont entièrement envahies par des dizaines de jeunes, qui n'hésitent pas à proposer leurs diverses marchandises qui vont des lunettes, tabac, effets vestimentaires, aux portables... tous ces articles sont proposés à quelques mètres de l'entrée du siège au vu et au su des élus et responsables qui restent de marbre. D'autres cas similaires peuvent encore être cités, à l'instar des APC d'El Harrach, Hussein Dey, Sidi M'hamed, Belouizdad... la liste reste encore longue. Y. B. Le nouveau phénomène, qui se a vu le jour, ces derniers temps dans la capitale, est le fait que des sièges d'APC sont complètement cernés par le commerce informel. Des dizaines de sièges d'APC dans Alger sont ainsi entourés par des centaines d'étalage implantées par des jeunes pratiquant ainsi leur activité commerciale de la manière la plus ordinaire, sans que cela ne fasse réagir nullement les autorités communales. On a vu bien d'endroits insolites squattés par ces jeunes commerçants informels, à l'image d'une agence bancaire à Belcourt, mais étaler ce commerce sous le nez ce ceux censés le combattre !, il faut avouer que cela est peu commun. On arrive à se demander comment des APC qui n'arrive à balayer devant leurs propres seuils, arriverront-elles à remettre de l'ordre ailleurs. Parmi les APC concernés par ce phénomène, nous pouvons citer le siège de l'assemblée élue dans la localité de Bab El-Oued. Localité réputée pour le commerce informel qui la gangène et régne en maître absolu sur les lieux. Les trois façades du siège de l'APC sont squattés, grands seigneurs les vendeurs à la sauvette ont épargné l'entrée principale. Tout se vend et s'achète à proximité de ces mairies. Les responsable et élus passent quotidiennement devant ces étals sans que cela ne les indispose, puisqu'ils n'ont pas daigné mettre un terme à cette anarchie qui affecte leurs propres sièges. Nous pouvons également citer le siège d'APC d'El Biar. La placette située juste en face du siège de l'APC, à savoir la place Kennedy, de même que les ruelles aux alentours sont entièrement envahies par des dizaines de jeunes, qui n'hésitent pas à proposer leurs diverses marchandises qui vont des lunettes, tabac, effets vestimentaires, aux portables... tous ces articles sont proposés à quelques mètres de l'entrée du siège au vu et au su des élus et responsables qui restent de marbre. D'autres cas similaires peuvent encore être cités, à l'instar des APC d'El Harrach, Hussein Dey, Sidi M'hamed, Belouizdad... la liste reste encore longue. Y. B.