La quatrième commission de l'Assemblée générale des Nations unies, chargée de la décolonisation débutera, lundi à New York, ses travaux par un débat général sur les questions de décolonisation, notamment, celle du Sahara Occidental. En effet chaque année, la question du Sahara Occidental occupe la plus grande partie des travaux de cette commission, présidée par le Qatari Nacer Abdelaziz Al Nacer. Le calendrier des travaux consacrés à la décolonisation, notamment, les renseignements relatifs aux 16 territoires non autonomes, les activités économiques préjudiciables aux intérêts des peuples de ces territoires et l'application de la déclaration sur l'octroi de l'indépendance. Outre le Sahara Occidental, l'Anguilla, les Bermudes, Gibraltar, Guam, Les îles Carmanes, les îles Falkland (Malvinas) , les îles turques et Caiques, les îles Vierges américaines, les îles Vierges britanniques, Montserrat, la Nouvelle Calédonie, Pitcairin, Sainte-Hélène, les Damoa américaines et les Tokelau sont considérés territoires non autonomes par l'ONU. La quatrième commission avait appuyée, lors de sa dernière session du 22 octobre 2008, le processus de négociations entre le Front Polisario et le Maroc décidé par le Conseil de sécurité en vue de parvenir à l'autodétermination du peuple sahraoui. Prenant acte du rapport du secrétaire général de l'ONU, elle avait adopté, par consensus, une résolution dans laquelle elle «appuie le processus de négociations, initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 17836 (2007) et 1813 (2008) du conseil de sécurité, en vue de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple sahraoui». Le Sahara Occidental est la dernière colonie en Afrique, il est considéré comme territoire non autonome par l'ONU depuis 1766. Le Maroc et le Front Polisario ont engagé, en juin 2007, des négociations directes, sous l'égide de l'ONU, dont quatre rounds ont eu lieu depuis à Manhassel près de New York et une réunion informelle à Vienne, sans aboutir à une avancée réelle. Le but de ces négociations, défini par le conseil de sécurité, est de parvenir à une solution politique au conflit au Sahara Occidental, qui respecte le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui. La quatrième commission de l'Assemblée générale des Nations unies, chargée de la décolonisation débutera, lundi à New York, ses travaux par un débat général sur les questions de décolonisation, notamment, celle du Sahara Occidental. En effet chaque année, la question du Sahara Occidental occupe la plus grande partie des travaux de cette commission, présidée par le Qatari Nacer Abdelaziz Al Nacer. Le calendrier des travaux consacrés à la décolonisation, notamment, les renseignements relatifs aux 16 territoires non autonomes, les activités économiques préjudiciables aux intérêts des peuples de ces territoires et l'application de la déclaration sur l'octroi de l'indépendance. Outre le Sahara Occidental, l'Anguilla, les Bermudes, Gibraltar, Guam, Les îles Carmanes, les îles Falkland (Malvinas) , les îles turques et Caiques, les îles Vierges américaines, les îles Vierges britanniques, Montserrat, la Nouvelle Calédonie, Pitcairin, Sainte-Hélène, les Damoa américaines et les Tokelau sont considérés territoires non autonomes par l'ONU. La quatrième commission avait appuyée, lors de sa dernière session du 22 octobre 2008, le processus de négociations entre le Front Polisario et le Maroc décidé par le Conseil de sécurité en vue de parvenir à l'autodétermination du peuple sahraoui. Prenant acte du rapport du secrétaire général de l'ONU, elle avait adopté, par consensus, une résolution dans laquelle elle «appuie le processus de négociations, initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 17836 (2007) et 1813 (2008) du conseil de sécurité, en vue de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple sahraoui». Le Sahara Occidental est la dernière colonie en Afrique, il est considéré comme territoire non autonome par l'ONU depuis 1766. Le Maroc et le Front Polisario ont engagé, en juin 2007, des négociations directes, sous l'égide de l'ONU, dont quatre rounds ont eu lieu depuis à Manhassel près de New York et une réunion informelle à Vienne, sans aboutir à une avancée réelle. Le but de ces négociations, défini par le conseil de sécurité, est de parvenir à une solution politique au conflit au Sahara Occidental, qui respecte le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.