Des dizaines de militaires, tous grades confondus, blessés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, ont observé, hier à Alger, un sit-in devant le ministère de la Défense Nationale. Venus des 48 wilayas du pays, ces «victimes» de terrorisme et des «années de sang» réclament, en effet, les indemnités évoquées dans la réconciliation nationale et qu'ils n'ont pas encore reçues. Ces actifs et autres contractuels de la défense nationale ont adressé une plate forme de revendications au président de la république, réclament notamment, le remboursement matériel relatif aux atteintes physiques, amendement de la pension des blessés et les 100% handicapés qui ne dépasse pas les 2.800 DA, la revalorisation des allocations militaires selon l'ancienneté et le garde, le maintien des pensions après le décès du concerné, logement social et un grade précis pour les blessés. La «loi de réconciliation nationale» mise en œuvre par le régime en février 2006, prévoyait l'indemnisation de ces victimes, dont des militaires survécues à des embuscades et autres ratissages. En outre, selon le mensuel El Djeïch dans son dernier numéro, de ce mois d'octobre, les éléments du service national, victimes de préjudices corporels dans le cadre de la lutte contre le terrorisme bénéficieront d'une couverture sociale à travers leur prise en charge, ainsi que leurs proches, dans tous les domaines. «Cette couverture sociale englobe le suivi médical, la gratuité des soins et même le transfert vers des hôpitaux étrangers des cas qui ne peuvent pas être traités en Algérie», a précisé dans la publication El Djeich le colonel Saïd Chalabi, directeur de la Caisse militaire des retraites (CMR). Il est à signaler également que la nouvelle Loi de Finances Complémentaire 2009 évoque l'indemnisation des personnes incorporées au sein de l'ANP et blessées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, suite a la consécration d'une enveloppe financière estimée à 8 milliards de dinars. La situation est visiblement paradoxale puisque la réalité des choses démontre le contraire. Des dizaines de militaires, tous grades confondus, blessés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, ont observé, hier à Alger, un sit-in devant le ministère de la Défense Nationale. Venus des 48 wilayas du pays, ces «victimes» de terrorisme et des «années de sang» réclament, en effet, les indemnités évoquées dans la réconciliation nationale et qu'ils n'ont pas encore reçues. Ces actifs et autres contractuels de la défense nationale ont adressé une plate forme de revendications au président de la république, réclament notamment, le remboursement matériel relatif aux atteintes physiques, amendement de la pension des blessés et les 100% handicapés qui ne dépasse pas les 2.800 DA, la revalorisation des allocations militaires selon l'ancienneté et le garde, le maintien des pensions après le décès du concerné, logement social et un grade précis pour les blessés. La «loi de réconciliation nationale» mise en œuvre par le régime en février 2006, prévoyait l'indemnisation de ces victimes, dont des militaires survécues à des embuscades et autres ratissages. En outre, selon le mensuel El Djeïch dans son dernier numéro, de ce mois d'octobre, les éléments du service national, victimes de préjudices corporels dans le cadre de la lutte contre le terrorisme bénéficieront d'une couverture sociale à travers leur prise en charge, ainsi que leurs proches, dans tous les domaines. «Cette couverture sociale englobe le suivi médical, la gratuité des soins et même le transfert vers des hôpitaux étrangers des cas qui ne peuvent pas être traités en Algérie», a précisé dans la publication El Djeich le colonel Saïd Chalabi, directeur de la Caisse militaire des retraites (CMR). Il est à signaler également que la nouvelle Loi de Finances Complémentaire 2009 évoque l'indemnisation des personnes incorporées au sein de l'ANP et blessées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, suite a la consécration d'une enveloppe financière estimée à 8 milliards de dinars. La situation est visiblement paradoxale puisque la réalité des choses démontre le contraire.