Le comité autonome provisoire, du département des langues étrangères à la faculté de Bouzaréah, n'est pas près de lâcher la partie aussi facilement. Il persiste toujours dans sa grève. Hier, le département était pour le troisième jour consécutif fermé par les étudiants des langues. Déterminés à ne pas baisser les bras face au mutisme de leur administration, les étudiants revendiquent toujours la prise en charge des douze points repris sur la pétition remise à l'administration, dans le cas contraire, ils menacent d'une grève illimitée. L'un des représentants du comité, affirme qu'aucune réaction concrète n'a été enregistrée du côté du chef du département ou de tout autre responsables qui semblent ainsi prendre les choses à la légère. Or que, souligne notre interlocuteur, le recours à une année blanche, face à cette situation de statu-quo est solidement envisagée. A titre de rappel, ce vent de contestation fait suite aux résultats catastrophiques enregistrés par les étudiants de ce département, notamment ceux de langue française. Ils dénoncent également certains textes et lois jugées "répressives et arbitraires" régissant leur département. Le comité autonome provisoire, du département des langues étrangères à la faculté de Bouzaréah, n'est pas près de lâcher la partie aussi facilement. Il persiste toujours dans sa grève. Hier, le département était pour le troisième jour consécutif fermé par les étudiants des langues. Déterminés à ne pas baisser les bras face au mutisme de leur administration, les étudiants revendiquent toujours la prise en charge des douze points repris sur la pétition remise à l'administration, dans le cas contraire, ils menacent d'une grève illimitée. L'un des représentants du comité, affirme qu'aucune réaction concrète n'a été enregistrée du côté du chef du département ou de tout autre responsables qui semblent ainsi prendre les choses à la légère. Or que, souligne notre interlocuteur, le recours à une année blanche, face à cette situation de statu-quo est solidement envisagée. A titre de rappel, ce vent de contestation fait suite aux résultats catastrophiques enregistrés par les étudiants de ce département, notamment ceux de langue française. Ils dénoncent également certains textes et lois jugées "répressives et arbitraires" régissant leur département.