Les cas d'infection par contact avec des déchets hospitaliers ne sont pas si rares que l'on pourrait l'imaginer. En effet ces cas resensés mensuellement peuvent aller de 10 à 20, dont certains sont souvent hélas mortels. Ces infections peuvent malheureusement survenir au moindre contact avec des déchets hospitaliers souillés. Les personnes qui restent les plus exposées sans, sans conteste, celle travaillant dans le secteur d'hygiène. Les cas d'infection par contact avec des déchets hospitaliers ne sont pas si rares que l'on pourrait l'imaginer. En effet ces cas resensés mensuellement peuvent aller de 10 à 20, dont certains sont souvent hélas mortels. Ces infections peuvent malheureusement survenir au moindre contact avec des déchets hospitaliers souillés. Les personnes qui restent les plus exposées sans, sans conteste, celle travaillant dans le secteur d'hygiène. L'incinérateur, ce dispositif sans lequel la structure hospitalière ne saurait exister. La culture hospitalière des pays tiers-mondistes tend malheureusement de plus en plus à occulter cet équipement vital pour éviter la propagation des infections. A cause de cette indifférence manifeste des cas d'infection ou pire des morts sont enregistrés quotidiennement à la suite de contact avec des déchets organiques ou tout objet ou pansements souillés jetés dans la nature exposant le premier venu à une contamination certaine. Alger une capitale dotée de l'un des plus grans hôpitaux d'Afrique et censé être hyper équipé vit cette tragique situation amplifiée par l'avènement des nombreuses cliniques et centres de santé qui n'ont pas, pour la plupart, où incinérer leurs nombreux déchets. En effet rares sont les cliniques, privés ou étatiques qui disposent d'incinérateur. Selon une étude menée par la commission de l'environnement de la wilaya d'Alger, il est révélé qu'entre 10 à 20 personne subissent mensuellement desinfections souvent mortelles au niveau de la capitale. Ces infections font suite à des contacts avec divers déchets médicaux. Les éboueurs, les personnes les plus exposées Les personnes les plus exposées à cette contamination restent, sans conteste, les employés du secteur d'hygiène lors du ramassage des ordures. D'ailleurs, le directeur de l'entreprise NetCom, M Benallia, a affirmé qu'à plusieurs reprises des agents de sa filiale ont été exposés à ces intoxications dans le cadre de leur travail. Cette catégorie est réellement en danger en étant confrontée à ces déchets, affirment plusieurs spécialistes, à l'instar du président de la commission de l'environnement de la wilaya d'Alger. Déplorant et dénonçant cette situation, le directeur général de l'Epic NetCom, dans une de ses nombreuses déclarations à ce sujet, affirme et souhaite que les déchets médicaux de quelque nature qu'ils soient, devraient être traités de manière rigoureuse en utilisant les moyens aptes à empêcher toute propagation d'une quelquonque infection et poue cela l'incinérateur reste la seule et unique solution qui pourrait éradiquer le danger durablement et efficacement. La solution, selon l'intervenant, serait donc bel est bien, l'installation d'incinérateurs au sein de chaque établissement sanitaire. "Les déchets doivent être incinérés à l'intérieur de chaque établissement, car même leur transport reste dangeraux et peut exposer les citoyens à une exposition aux diverses infections. Ainsi nos agents sont constamment exposés au danger, alors que notre raison sociale est uniquement la collecte des ordures ménagères». Le secteur privé pointé du doigt, mais qu'en est-il du public ? Même si le secteur privé est pointé du doigt par les responsables de la santé et de l'envenimement à travers leurs discours, il n'en demeure pas moins que le secteur public n'est pas blan-blanc. Quoi que l'on puisse dire et affirmer, ce dernier a une bonne part de responsabilités dans ces cas d'infections. Plusieurs cliniques publiques, hôpitaux et CHU sont en effet dépourvus d'incinérateurs. Selon une source proche de l'EPIC Hurbal, pas moins de 50% des établissements publics ne seraient pas dotés de ce dispositif pourtant obligatoire. Souvent, même si les incinérateurs existent, pour manque d'entretien ou négligences ils se rettrouvent en panne et ne sont jamais répparés. Contacté par nos soins pour apporter un peu plus de lumière sur cette délicate question, un professeur spécialiste dans les intoxications et infections, exerçant au niveau de la capitale, nous affirme fermement que les "infections générées par les déchets hospitaliers, notamment organiques et même matériels à l'instar des piqûres, restent les plus dangereuses parmi les infections que l'on pourraient rencontrer". "Il faut impérativement que ces déchets disparaissent dès leur apparition, car ils représentent d'énormes risques de santé ou même des risques mortels après un simple contact avec ces déchets". Quid des lois et textes régissant ce domaine L'Etat bien sûr ne saurait en aucun cas ne pas être concerné par cette problématique. Il faut d'ailleurs préciser que les lois et les textes régissant ce domaine sensible existent bel et bien. Quant à leur application... les responsables du secteur ne semblent pas être conscients de l'ampleur du danger engendré par leur indifférence et laxisme. Il est à noter, que le ministère de la Santé s'apprête à acquérir de nouveaux incinérateurs plus performants, le projet est envisagé pour le mois de décembre prochain. Un mois qui coïncidera avec le Salon international des petits et grands équipements médicaux. Ce point fait également partie des recommandations des élus d'Alger lors d'une précédente rencontre lors de laquelle ils ont tiré la sonnette d'alarme sur pareils dépassements et négligences jugées criminelles. L'incinérateur, ce dispositif sans lequel la structure hospitalière ne saurait exister. La culture hospitalière des pays tiers-mondistes tend malheureusement de plus en plus à occulter cet équipement vital pour éviter la propagation des infections. A cause de cette indifférence manifeste des cas d'infection ou pire des morts sont enregistrés quotidiennement à la suite de contact avec des déchets organiques ou tout objet ou pansements souillés jetés dans la nature exposant le premier venu à une contamination certaine. Alger une capitale dotée de l'un des plus grans hôpitaux d'Afrique et censé être hyper équipé vit cette tragique situation amplifiée par l'avènement des nombreuses cliniques et centres de santé qui n'ont pas, pour la plupart, où incinérer leurs nombreux déchets. En effet rares sont les cliniques, privés ou étatiques qui disposent d'incinérateur. Selon une étude menée par la commission de l'environnement de la wilaya d'Alger, il est révélé qu'entre 10 à 20 personne subissent mensuellement desinfections souvent mortelles au niveau de la capitale. Ces infections font suite à des contacts avec divers déchets médicaux. Les éboueurs, les personnes les plus exposées Les personnes les plus exposées à cette contamination restent, sans conteste, les employés du secteur d'hygiène lors du ramassage des ordures. D'ailleurs, le directeur de l'entreprise NetCom, M Benallia, a affirmé qu'à plusieurs reprises des agents de sa filiale ont été exposés à ces intoxications dans le cadre de leur travail. Cette catégorie est réellement en danger en étant confrontée à ces déchets, affirment plusieurs spécialistes, à l'instar du président de la commission de l'environnement de la wilaya d'Alger. Déplorant et dénonçant cette situation, le directeur général de l'Epic NetCom, dans une de ses nombreuses déclarations à ce sujet, affirme et souhaite que les déchets médicaux de quelque nature qu'ils soient, devraient être traités de manière rigoureuse en utilisant les moyens aptes à empêcher toute propagation d'une quelquonque infection et poue cela l'incinérateur reste la seule et unique solution qui pourrait éradiquer le danger durablement et efficacement. La solution, selon l'intervenant, serait donc bel est bien, l'installation d'incinérateurs au sein de chaque établissement sanitaire. "Les déchets doivent être incinérés à l'intérieur de chaque établissement, car même leur transport reste dangeraux et peut exposer les citoyens à une exposition aux diverses infections. Ainsi nos agents sont constamment exposés au danger, alors que notre raison sociale est uniquement la collecte des ordures ménagères». Le secteur privé pointé du doigt, mais qu'en est-il du public ? Même si le secteur privé est pointé du doigt par les responsables de la santé et de l'envenimement à travers leurs discours, il n'en demeure pas moins que le secteur public n'est pas blan-blanc. Quoi que l'on puisse dire et affirmer, ce dernier a une bonne part de responsabilités dans ces cas d'infections. Plusieurs cliniques publiques, hôpitaux et CHU sont en effet dépourvus d'incinérateurs. Selon une source proche de l'EPIC Hurbal, pas moins de 50% des établissements publics ne seraient pas dotés de ce dispositif pourtant obligatoire. Souvent, même si les incinérateurs existent, pour manque d'entretien ou négligences ils se rettrouvent en panne et ne sont jamais répparés. Contacté par nos soins pour apporter un peu plus de lumière sur cette délicate question, un professeur spécialiste dans les intoxications et infections, exerçant au niveau de la capitale, nous affirme fermement que les "infections générées par les déchets hospitaliers, notamment organiques et même matériels à l'instar des piqûres, restent les plus dangereuses parmi les infections que l'on pourraient rencontrer". "Il faut impérativement que ces déchets disparaissent dès leur apparition, car ils représentent d'énormes risques de santé ou même des risques mortels après un simple contact avec ces déchets". Quid des lois et textes régissant ce domaine L'Etat bien sûr ne saurait en aucun cas ne pas être concerné par cette problématique. Il faut d'ailleurs préciser que les lois et les textes régissant ce domaine sensible existent bel et bien. Quant à leur application... les responsables du secteur ne semblent pas être conscients de l'ampleur du danger engendré par leur indifférence et laxisme. Il est à noter, que le ministère de la Santé s'apprête à acquérir de nouveaux incinérateurs plus performants, le projet est envisagé pour le mois de décembre prochain. Un mois qui coïncidera avec le Salon international des petits et grands équipements médicaux. Ce point fait également partie des recommandations des élus d'Alger lors d'une précédente rencontre lors de laquelle ils ont tiré la sonnette d'alarme sur pareils dépassements et négligences jugées criminelles.