Pour répondre un peu à tout ce qui a été écrit via les titres de journaux concernant la recette enregistrée lors du derby constantinois CSC-MOC, M. B. Zertal, responsable du stade, aurait officiellement déclaré au cours de la journée de lundi que les Sanafir auraient bénéficié, sur la recette globale, d'une quote-part équivalente à prés d'un million et demi de dinars (1.500.000). Rappelons que lors d'une conférence de presse qui avait suivi le derby, le président Ounis avait estimé selon ses prévisions que la quote-part qui allait échoir au club ne risquait pas de dépasser la vingtaine de millions compte tenu de la répartition de la recette globale, qu'il avait d'ailleurs schématisé de la manière suivante : 20% pour l'OPOW, 20% pour la LNF en plus des charges de la journée qui restent en fonction de l'importance des forces de l'ordre mobilisées, de l'imposition au titre de la fiscalité et enfin les agents appartenant à l'OPOW mais aussi ceux du CSC préposés aux guichets, aux entrées et dans la périphérie de l'infrastructure. Ainsi, dans un communiqué daté d'hier, la direction du CSC a tenu à fournir dans les détails recettes et charges du derby après aboutissement des calculs de tous les comptes. Quote-part OPOW : 376.200 DA, LNF : 376 200 DA, impression billetterie : 180.000 DA, Vacation service d'ordre : 100 à 150.000 DA, dommages causés aux sièges : 390 000 DA, vacation gardiennage aux portes d'entrées : 30 000 DA, impôt sur la billetterie : 50 000 DA. Ces détails donnés, il est enfin souligné en conclusion dans le communiqué que le club n'encaisserait en tout et pour tout qu'entre 291 000 et 378 600 DA. Le CSC restant dans les approximations, il serait des plus arbitraires de considérer les chiffres communiqués comme tangibles et sincères. Rappelons malgré tout que lors de sa première conférence de presse, Y. Ounis le président du CSC avait affirmé avoir remis 50. 000 billets à l'OPOW alors que la direction de l'office n'a déclaré avoir vendu que 7.050 billets. L'explication, a toutefois, été immédiatement fournie par B. Zertal, le directeur du complexe. «Effectivement, le CSC nous a remis 50.000 billets dont nous avons éliminé 18.000 parce que ne répondant pas aux critères (cachet du service des impôts) et nos agents ne sont arrivés à écouler que 7.050. Ce n'est tout de même pas notre faute si les supporters ont boycotté le derby». Enfin, il y a trois jours, le porte-parole du CSC a informé les médias que le club s'apprêtait à recevoir en dehors de la ville de Constantine compte tenu du fait que le stade du 17 juin ne remplit pas les conditions idoines pour le déroulement d'une rencontre à la dimension de la galerie du CSC. Reste maintenant à savoir où pourraient évoluer les Sanafir et quel stade accepterait de recevoir leurs fans dont la réputation de hooligans leur a nettement porté préjudice. Pour répondre un peu à tout ce qui a été écrit via les titres de journaux concernant la recette enregistrée lors du derby constantinois CSC-MOC, M. B. Zertal, responsable du stade, aurait officiellement déclaré au cours de la journée de lundi que les Sanafir auraient bénéficié, sur la recette globale, d'une quote-part équivalente à prés d'un million et demi de dinars (1.500.000). Rappelons que lors d'une conférence de presse qui avait suivi le derby, le président Ounis avait estimé selon ses prévisions que la quote-part qui allait échoir au club ne risquait pas de dépasser la vingtaine de millions compte tenu de la répartition de la recette globale, qu'il avait d'ailleurs schématisé de la manière suivante : 20% pour l'OPOW, 20% pour la LNF en plus des charges de la journée qui restent en fonction de l'importance des forces de l'ordre mobilisées, de l'imposition au titre de la fiscalité et enfin les agents appartenant à l'OPOW mais aussi ceux du CSC préposés aux guichets, aux entrées et dans la périphérie de l'infrastructure. Ainsi, dans un communiqué daté d'hier, la direction du CSC a tenu à fournir dans les détails recettes et charges du derby après aboutissement des calculs de tous les comptes. Quote-part OPOW : 376.200 DA, LNF : 376 200 DA, impression billetterie : 180.000 DA, Vacation service d'ordre : 100 à 150.000 DA, dommages causés aux sièges : 390 000 DA, vacation gardiennage aux portes d'entrées : 30 000 DA, impôt sur la billetterie : 50 000 DA. Ces détails donnés, il est enfin souligné en conclusion dans le communiqué que le club n'encaisserait en tout et pour tout qu'entre 291 000 et 378 600 DA. Le CSC restant dans les approximations, il serait des plus arbitraires de considérer les chiffres communiqués comme tangibles et sincères. Rappelons malgré tout que lors de sa première conférence de presse, Y. Ounis le président du CSC avait affirmé avoir remis 50. 000 billets à l'OPOW alors que la direction de l'office n'a déclaré avoir vendu que 7.050 billets. L'explication, a toutefois, été immédiatement fournie par B. Zertal, le directeur du complexe. «Effectivement, le CSC nous a remis 50.000 billets dont nous avons éliminé 18.000 parce que ne répondant pas aux critères (cachet du service des impôts) et nos agents ne sont arrivés à écouler que 7.050. Ce n'est tout de même pas notre faute si les supporters ont boycotté le derby». Enfin, il y a trois jours, le porte-parole du CSC a informé les médias que le club s'apprêtait à recevoir en dehors de la ville de Constantine compte tenu du fait que le stade du 17 juin ne remplit pas les conditions idoines pour le déroulement d'une rencontre à la dimension de la galerie du CSC. Reste maintenant à savoir où pourraient évoluer les Sanafir et quel stade accepterait de recevoir leurs fans dont la réputation de hooligans leur a nettement porté préjudice.