M. Seghir Benbouzid Président-directeur général de la Banque nationale d'Algérie (BNA) a expliqué à l'assistance que le volume des crédits documentaires et des opérations du commerce extérieur a connu une hausse subite. M. Seghir Benbouzid Président-directeur général de la Banque nationale d'Algérie (BNA) a expliqué à l'assistance que le volume des crédits documentaires et des opérations du commerce extérieur a connu une hausse subite. «La loi de finances complémentaire est une décision destinée à sauvegarder les intérêts économiques du pays et les outils de production nationale. Il faut, donc, que nous nous y adaptions» a notamment déclaré, hier à l'hôtel Mercure, le Président-directeur général de la Banque nationale d'Algérie (BNA) au cours d'une rencontre avec les clients de cette banque publique. En effet, Seghir Benbouzid a expliqué à l'assistance que le volume des crédits documentaires et des opérations du commerce extérieur a connu une hausse subite. Il fallait donc des capacités de traitement appropriées, ceci pour répondre aux préoccupations et aux soucis des clients et des importateurs qui réclament des délais plus rapides et courts afin de circonvenir les lenteurs et les lourdeurs bureaucratiques. Certaines agences ont été informatisées il y a longtemps et traitent convenablement les dossiers de crédits documentaires, selon le P-DG de la BNA, ajoutant cependant, que d'autres agences ne connaissent pas le crédit documentaire, sachant que depuis le 31 juillet dernier, les importations s'effectuent uniquement avec ce moyen de paiement dans la mesure où le transfert libre n'est plus autorisé par l'autorité monétaire. Néanmoins, certains importateurs continuent de réclamer le mode de paiement du transfert libre, car il est considéré comme le meilleur moyen de paiement entre le fournisseur et l'importateur, bien que ce mode de paiement exceptionnel n'est accordé que pour les importateurs dans des situations d'urgence justifiées, tel que l'importation de médicaments, de produits de santé. En tout état de cause, la BNA est disposée à donner satisfaction à ses clients, a précisé Benbouzid, affirmant que la banque se plie aux besoins de ses clients, par conséquent, ces mêmes clients et opérateurs économiques doivent planifier leurs importations.De nombreux clients de la BNA ont déploré les retards engendrés dans le traitement des demandes de crédits documentaires et un opérateur client de cette banque depuis 28 ans a menacé de se retirer de cette banque dans le cas où son problème de sollicitation de crédit documentaire ne trouve pas de solution rapide. Pour rassurer ses clients, Benbouzid a souligné que le traitement d'un dossier de crédit documentaire qui durerait plus de 15 jours serait inacceptable, ni par lui ni par les partenaires économiques. «Le crédit documentaire est très important et risqué pour la banque et de telles situations ne doivent pas se répéter» a-t-il dit, ajoutant que la les agences de la banque sont modernisées alors qu'auparavant, en 2005 la BNA était dans une situation lamentable où les auditeurs internationaux ont trouvé 30 agents dans une agence au lieu de 10. Aujourd'hui, la banque a des normes de performance et sur 200 agences 50 ouvrent le crédit documentaire avec une capacité de traitement de 200 dossiers de Credoc par jour. «La loi de finances complémentaire est une décision destinée à sauvegarder les intérêts économiques du pays et les outils de production nationale. Il faut, donc, que nous nous y adaptions» a notamment déclaré, hier à l'hôtel Mercure, le Président-directeur général de la Banque nationale d'Algérie (BNA) au cours d'une rencontre avec les clients de cette banque publique. En effet, Seghir Benbouzid a expliqué à l'assistance que le volume des crédits documentaires et des opérations du commerce extérieur a connu une hausse subite. Il fallait donc des capacités de traitement appropriées, ceci pour répondre aux préoccupations et aux soucis des clients et des importateurs qui réclament des délais plus rapides et courts afin de circonvenir les lenteurs et les lourdeurs bureaucratiques. Certaines agences ont été informatisées il y a longtemps et traitent convenablement les dossiers de crédits documentaires, selon le P-DG de la BNA, ajoutant cependant, que d'autres agences ne connaissent pas le crédit documentaire, sachant que depuis le 31 juillet dernier, les importations s'effectuent uniquement avec ce moyen de paiement dans la mesure où le transfert libre n'est plus autorisé par l'autorité monétaire. Néanmoins, certains importateurs continuent de réclamer le mode de paiement du transfert libre, car il est considéré comme le meilleur moyen de paiement entre le fournisseur et l'importateur, bien que ce mode de paiement exceptionnel n'est accordé que pour les importateurs dans des situations d'urgence justifiées, tel que l'importation de médicaments, de produits de santé. En tout état de cause, la BNA est disposée à donner satisfaction à ses clients, a précisé Benbouzid, affirmant que la banque se plie aux besoins de ses clients, par conséquent, ces mêmes clients et opérateurs économiques doivent planifier leurs importations.De nombreux clients de la BNA ont déploré les retards engendrés dans le traitement des demandes de crédits documentaires et un opérateur client de cette banque depuis 28 ans a menacé de se retirer de cette banque dans le cas où son problème de sollicitation de crédit documentaire ne trouve pas de solution rapide. Pour rassurer ses clients, Benbouzid a souligné que le traitement d'un dossier de crédit documentaire qui durerait plus de 15 jours serait inacceptable, ni par lui ni par les partenaires économiques. «Le crédit documentaire est très important et risqué pour la banque et de telles situations ne doivent pas se répéter» a-t-il dit, ajoutant que la les agences de la banque sont modernisées alors qu'auparavant, en 2005 la BNA était dans une situation lamentable où les auditeurs internationaux ont trouvé 30 agents dans une agence au lieu de 10. Aujourd'hui, la banque a des normes de performance et sur 200 agences 50 ouvrent le crédit documentaire avec une capacité de traitement de 200 dossiers de Credoc par jour.