Accepter sa maladie est le premier pas qui doit être fait pour mener une vie normale. Il est important pour les malades, hommes ou femmes, âgés ou jeunes d'admettre leur maladie. Tout comme il faut convaincre l'opinion publique que cette maladie n'est pas un handicap, et qu'elle n'est pas contagieuse. Il suffit au diabétique de suivre son traitement, prendre son médicament convenablement et obéir aux instructions de son médecin. Je suis moi-même passée par cette phase de crise les premiers temps quand j'ai contractée cette maladie. Mais prendre contact avec l'association m'a permis d'accepter ma maladie et de reconnaître que je peux vivre normalement. C'est un message que j'adresse en particulier aux jeunes filles diabétiques. Ces dernières se disent, dans la grande majorité des cas, que leur vie ne sera plus normale, qu'elles ne pourront pas se marier ou avoir des enfants comme tout autre femme. Cela est faux. Certes, le diabétique doit profiter d'un traitement alimentaire et hygiénique approprié, mais cela est justement fait pour pouvoir vivre normalement. C'est dans ce cadre que se perçoit le rôle d'une association. Elle se doit d'approcher le diabétique, lui faire connaître sa maladie et lui apprendre à l'accepter et à vivre avec. En plus de cela, notre association œuvre dans la sensibilisation des diabétiques quant et à des pratiques et traitements médicaux dangereux. Nous organisons une large campagne de sensibilisation à travers le pays pour rappeler aux diabétiques les règles d'hygiène à respecter, mais surtout à les prévenir sur les effets néfastes de herbes médicinales. Des chaînes de télévision, principalement d'Orient, font passer des spots publicitaires incitant à l'utilisation de certaines plantes à la place de médicaments importants comme l'insuline. Bon nombre de diabétiques ont eu d'importantes complications suite à l'utilisation de ces médicaments de charlatans. Pis encore, si certaines personnes prennent les deux traitements simultanément d'autres, leurrés par ces publicités, mettent totalement de côté le traitement prescrit par leur médecin soignant. Accepter sa maladie est le premier pas qui doit être fait pour mener une vie normale. Il est important pour les malades, hommes ou femmes, âgés ou jeunes d'admettre leur maladie. Tout comme il faut convaincre l'opinion publique que cette maladie n'est pas un handicap, et qu'elle n'est pas contagieuse. Il suffit au diabétique de suivre son traitement, prendre son médicament convenablement et obéir aux instructions de son médecin. Je suis moi-même passée par cette phase de crise les premiers temps quand j'ai contractée cette maladie. Mais prendre contact avec l'association m'a permis d'accepter ma maladie et de reconnaître que je peux vivre normalement. C'est un message que j'adresse en particulier aux jeunes filles diabétiques. Ces dernières se disent, dans la grande majorité des cas, que leur vie ne sera plus normale, qu'elles ne pourront pas se marier ou avoir des enfants comme tout autre femme. Cela est faux. Certes, le diabétique doit profiter d'un traitement alimentaire et hygiénique approprié, mais cela est justement fait pour pouvoir vivre normalement. C'est dans ce cadre que se perçoit le rôle d'une association. Elle se doit d'approcher le diabétique, lui faire connaître sa maladie et lui apprendre à l'accepter et à vivre avec. En plus de cela, notre association œuvre dans la sensibilisation des diabétiques quant et à des pratiques et traitements médicaux dangereux. Nous organisons une large campagne de sensibilisation à travers le pays pour rappeler aux diabétiques les règles d'hygiène à respecter, mais surtout à les prévenir sur les effets néfastes de herbes médicinales. Des chaînes de télévision, principalement d'Orient, font passer des spots publicitaires incitant à l'utilisation de certaines plantes à la place de médicaments importants comme l'insuline. Bon nombre de diabétiques ont eu d'importantes complications suite à l'utilisation de ces médicaments de charlatans. Pis encore, si certaines personnes prennent les deux traitements simultanément d'autres, leurrés par ces publicités, mettent totalement de côté le traitement prescrit par leur médecin soignant.