Midi Libre : Croyez-vous aboutir à des recrutements au cours de ce forum ? Michel Katlama : Pour Henkel, le territoire de recrutement privilégié c'est l'Algerie. Néanmoins le forum de Réage constitue une opportunité d'étudier la possibilité de recruter des personnes qui ont la volonté de travailler en Algerie. Vous faites appel aussi à des experts étrangers… Notre groupe représente 1.100 personnes et nous n'avons que trois étrangers dans l'entreprise. Notre priorité c'est la compétence nationale et si nous pouvons trouver cette compétence à travers ce type de forum, pourquoi pas ? C'est une opportunité à saisir. Comment évaluez-vous votre implantation en Algérie ? Les résultats sont aujourd'hui globalement satisfaisants Quel a été l'impact de la loi de finances complémentaire sur votre activité ? Je voudrais préciser tout d'abord que les autorités algériennes sont libres d'instaurer toutes les réglementations et en particulier le crédit documentaire. Puisque nous sommes présents depuis 2000, nous ne sommes pas concernés par les dispositions 51-49 et 70-30. La remarque que je pourrais faire toutefois serait à propos de la précipitation avec laquelle la disposition du crédit documentaire a été instaurée. L'environnement n'était pas prêt à ce changement radical. Par environnement j'entends aussi les banques, les douanes et les opérateurs économiques. Nous avons subi quelque peu l'impact de cette loi par des retards dans la livraison de matières premières parce que nous produisons la totalité des produits en Algérie. Je regrette cette précipitation car plus de préparation nous aurait permis, à nous comme à tout l'environnement, de nous adapter Midi Libre : Croyez-vous aboutir à des recrutements au cours de ce forum ? Michel Katlama : Pour Henkel, le territoire de recrutement privilégié c'est l'Algerie. Néanmoins le forum de Réage constitue une opportunité d'étudier la possibilité de recruter des personnes qui ont la volonté de travailler en Algerie. Vous faites appel aussi à des experts étrangers… Notre groupe représente 1.100 personnes et nous n'avons que trois étrangers dans l'entreprise. Notre priorité c'est la compétence nationale et si nous pouvons trouver cette compétence à travers ce type de forum, pourquoi pas ? C'est une opportunité à saisir. Comment évaluez-vous votre implantation en Algérie ? Les résultats sont aujourd'hui globalement satisfaisants Quel a été l'impact de la loi de finances complémentaire sur votre activité ? Je voudrais préciser tout d'abord que les autorités algériennes sont libres d'instaurer toutes les réglementations et en particulier le crédit documentaire. Puisque nous sommes présents depuis 2000, nous ne sommes pas concernés par les dispositions 51-49 et 70-30. La remarque que je pourrais faire toutefois serait à propos de la précipitation avec laquelle la disposition du crédit documentaire a été instaurée. L'environnement n'était pas prêt à ce changement radical. Par environnement j'entends aussi les banques, les douanes et les opérateurs économiques. Nous avons subi quelque peu l'impact de cette loi par des retards dans la livraison de matières premières parce que nous produisons la totalité des produits en Algérie. Je regrette cette précipitation car plus de préparation nous aurait permis, à nous comme à tout l'environnement, de nous adapter