En dépit de sa situation sur l'axe stratégique Oum El-Bouaghi-Aïn M'lila, la localité de Henchir Toumghani demeure l'une des communes les plus pauvres de la wilaya. Avec une population de près de 25.000 habitants, la commune, qui a vécu les affres du terrorisme, continue à faire face à la précarité, marquée surtout d'un côté par un chômage frappant de plein fouet la jeunesse composée d'un nombre appréciable d'universitaires et, de l'autre, par une insuffisance d'équipements pour les fellahs. Dans cette optique, des sources concordantes font état de l'existence de plus de 2.000 demandes d'emploi pour le filet social, qui reste, au demeurant, tributaire des ressources financières de la commune qui restent insuffisantes. Cette commune rurale, où la population est en nette augmentation avec un taux de natalité croissant, avec près de 700 à 800 naissances chaque année, n'est dotée que d'une seule polyclinique fonctionnant cinq jours sur sept, à raison de cinq heures par jour. La structure manque de médecins, contraignant ainsi les citoyens à se diriger vers les localités d'Aïn Fakroun, Aïn Kercha, Aïn M'lila, Oum El-Bouaghi et même Constantine pour se soigner, avec tout l'impact négatif en matière de dépenses pour cette prise en charge médicale. Avec une seule ambulance au niveau de la commune, l'évacuation des urgences pose aussi problème. Par ailleurs, les deux bus affectés au transport des élèves des nombreuses mechtas de Henchir Toumghani demeurent insuffisants, selon nos sources. Alors qu'une soixantaine de logements sociaux sont programmés, la commune n'a bénéficié d'aucun programme LSP ou autre, au moment où plus de 1.600 demandes sont comptabilisées par les services concernés. En dépit de sa situation sur l'axe stratégique Oum El-Bouaghi-Aïn M'lila, la localité de Henchir Toumghani demeure l'une des communes les plus pauvres de la wilaya. Avec une population de près de 25.000 habitants, la commune, qui a vécu les affres du terrorisme, continue à faire face à la précarité, marquée surtout d'un côté par un chômage frappant de plein fouet la jeunesse composée d'un nombre appréciable d'universitaires et, de l'autre, par une insuffisance d'équipements pour les fellahs. Dans cette optique, des sources concordantes font état de l'existence de plus de 2.000 demandes d'emploi pour le filet social, qui reste, au demeurant, tributaire des ressources financières de la commune qui restent insuffisantes. Cette commune rurale, où la population est en nette augmentation avec un taux de natalité croissant, avec près de 700 à 800 naissances chaque année, n'est dotée que d'une seule polyclinique fonctionnant cinq jours sur sept, à raison de cinq heures par jour. La structure manque de médecins, contraignant ainsi les citoyens à se diriger vers les localités d'Aïn Fakroun, Aïn Kercha, Aïn M'lila, Oum El-Bouaghi et même Constantine pour se soigner, avec tout l'impact négatif en matière de dépenses pour cette prise en charge médicale. Avec une seule ambulance au niveau de la commune, l'évacuation des urgences pose aussi problème. Par ailleurs, les deux bus affectés au transport des élèves des nombreuses mechtas de Henchir Toumghani demeurent insuffisants, selon nos sources. Alors qu'une soixantaine de logements sociaux sont programmés, la commune n'a bénéficié d'aucun programme LSP ou autre, au moment où plus de 1.600 demandes sont comptabilisées par les services concernés.