Prolifération des décharges sauvages, défaillance dans la collecte des ordures ménagères, absence de centre d'enfouissement, villes et quartiers sales, pollution de plages, égouts à ciel ouvert et usines et entreprise polluantes, tel est l'état de l'environnement dans cette wilaya côtière. Prolifération des décharges sauvages, défaillance dans la collecte des ordures ménagères, absence de centre d'enfouissement, villes et quartiers sales, pollution de plages, égouts à ciel ouvert et usines et entreprise polluantes, tel est l'état de l'environnement dans cette wilaya côtière. Décidément, l'environnement dans la wilaya de Boumerdès est de plus en plus menacée. Un constat accablant a été dressé par des élus APW de Boumerdès, lors d'une session tenue la veille de la fête de l'Aïd. Prolifération des décharges sauvages, défaillance dans la collecte des ordures ménagères, absence de centre d'enfouissement, villes et quartiers sales, pollution de plages, égouts à ciel ouvert et usines et entreprise polluantes, tel est l'état de l'environnement dans cette wilaya côtière. L'exemple le plus édifiant de cette dégradation est celui de l'incinérateur se trouvant dans la commune de Si Mustapha, à l'est du chef-lieu de wilaya. Ce dernier, géré par l'entreprise Ecferal d'El Harrach, dégage une fumée nocive à la santé des populations. A ce propos, M. Ouziriat, un élu de ladite APW, indique que les déchets dégagés causent de graves maladies. Il dira en effet que «la maladie de l'hépatite B est très répandue dans cette wilaya, elle est causée essentiellement par les déchets qui se dégagent de cet incinérateur». Faut-il le signaler, l'incinérateur en question traite les déchets provenant de l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger. En outre, les élus de la wilaya ont estimé que Boumerdès tend à devenir une grande poubelle à ciel ouvert, notamment par le transfert de la décharge de Oued Smar vers la commune de Corso. Le rapport établi par la commission environnement de la wilaya a fait un état des lieux peu reluisant quant à la situation environnementale qui ne cesse de se dégrader. Ledit rapport évoque la fumée qui se dégage d'une entreprise de torréfaction de café dans la ville d'Ouled Moussa. Cette fumée est jugée par les citoyens de ladite ville d'insupportable susceptible à long terme de constituer un danger pour la santé. Les agressions contre l'environnement se multiplient chaque jour à Boumerdès et ce au vu et au su de tout le monde. C'est le cas de la construction de poulaillers au centre ville de Corso. Ou encore ceux construits au village Béni Arab dans la localité de Thénia. Les odeurs et les déchets qui s'y dégagent ont perturbé l'alimentation en eau potable depuis les fontaines situées à quelques mètres de ces poulaillers. L'absence de CET dans la plupart des localités entraîne la prolifération de décharges sauvages. Aux Issers, la situation n'est guère reluisante. Le risque de maladies respiratoires plane sur les citoyens, notamment ceux habitant à proximité de la décharge communale. Située sur le CW 151 et à proximité d'une zone d'habitation, cette décharge est devenue une bombe à retardement. En outre, les carrières d'agrégats, un exemple de taille de l'atteinte à l'environnement, ont été ainsi exposées par les élus. Deux localités souffrent de plus en plus de ces carrières, Keddara et Thénia. Il est à rappeler que les habitants de Keddara, notamment ceux habitants à proximité de ces carrières avaient empêché l'accès des camions aux lieux d'extraction d'agrégats et ce, pour protester contre la poussière et les bruits sonores qui s'y dégagent. Sur ce volet, le directeur de l'environnement a évoqué la fermeture des carrières qui ne respectent pas les engagements signés dans les cahiers de charges. Par ailleurs, les élus ont soulevé la problématique de l'avancement du béton au détriment des terres agricoles. Ce qui entrave le développement du secteur agricole dans la wilaya. En somme, où l'on se rend à travers les 32 communes de la wilaya, l'on remarque que l'environnement est le dernier souci des citoyens. Décidément, l'environnement dans la wilaya de Boumerdès est de plus en plus menacée. Un constat accablant a été dressé par des élus APW de Boumerdès, lors d'une session tenue la veille de la fête de l'Aïd. Prolifération des décharges sauvages, défaillance dans la collecte des ordures ménagères, absence de centre d'enfouissement, villes et quartiers sales, pollution de plages, égouts à ciel ouvert et usines et entreprise polluantes, tel est l'état de l'environnement dans cette wilaya côtière. L'exemple le plus édifiant de cette dégradation est celui de l'incinérateur se trouvant dans la commune de Si Mustapha, à l'est du chef-lieu de wilaya. Ce dernier, géré par l'entreprise Ecferal d'El Harrach, dégage une fumée nocive à la santé des populations. A ce propos, M. Ouziriat, un élu de ladite APW, indique que les déchets dégagés causent de graves maladies. Il dira en effet que «la maladie de l'hépatite B est très répandue dans cette wilaya, elle est causée essentiellement par les déchets qui se dégagent de cet incinérateur». Faut-il le signaler, l'incinérateur en question traite les déchets provenant de l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger. En outre, les élus de la wilaya ont estimé que Boumerdès tend à devenir une grande poubelle à ciel ouvert, notamment par le transfert de la décharge de Oued Smar vers la commune de Corso. Le rapport établi par la commission environnement de la wilaya a fait un état des lieux peu reluisant quant à la situation environnementale qui ne cesse de se dégrader. Ledit rapport évoque la fumée qui se dégage d'une entreprise de torréfaction de café dans la ville d'Ouled Moussa. Cette fumée est jugée par les citoyens de ladite ville d'insupportable susceptible à long terme de constituer un danger pour la santé. Les agressions contre l'environnement se multiplient chaque jour à Boumerdès et ce au vu et au su de tout le monde. C'est le cas de la construction de poulaillers au centre ville de Corso. Ou encore ceux construits au village Béni Arab dans la localité de Thénia. Les odeurs et les déchets qui s'y dégagent ont perturbé l'alimentation en eau potable depuis les fontaines situées à quelques mètres de ces poulaillers. L'absence de CET dans la plupart des localités entraîne la prolifération de décharges sauvages. Aux Issers, la situation n'est guère reluisante. Le risque de maladies respiratoires plane sur les citoyens, notamment ceux habitant à proximité de la décharge communale. Située sur le CW 151 et à proximité d'une zone d'habitation, cette décharge est devenue une bombe à retardement. En outre, les carrières d'agrégats, un exemple de taille de l'atteinte à l'environnement, ont été ainsi exposées par les élus. Deux localités souffrent de plus en plus de ces carrières, Keddara et Thénia. Il est à rappeler que les habitants de Keddara, notamment ceux habitants à proximité de ces carrières avaient empêché l'accès des camions aux lieux d'extraction d'agrégats et ce, pour protester contre la poussière et les bruits sonores qui s'y dégagent. Sur ce volet, le directeur de l'environnement a évoqué la fermeture des carrières qui ne respectent pas les engagements signés dans les cahiers de charges. Par ailleurs, les élus ont soulevé la problématique de l'avancement du béton au détriment des terres agricoles. Ce qui entrave le développement du secteur agricole dans la wilaya. En somme, où l'on se rend à travers les 32 communes de la wilaya, l'on remarque que l'environnement est le dernier souci des citoyens.