Le ministre a déclaré au cours de sa réunion, hier, avec les syndicats du secteur que «tout le monde est d'accord sur la nécessité d'appliquer le programme de rattrapage des cours perdus, dans des conditions normales, sans recours, ni à la précipitation ni à la surcharge». Le ministre a déclaré au cours de sa réunion, hier, avec les syndicats du secteur que «tout le monde est d'accord sur la nécessité d'appliquer le programme de rattrapage des cours perdus, dans des conditions normales, sans recours, ni à la précipitation ni à la surcharge». Tel qu'appréhendé par les syndicats, le ministre de l'Education nationale Boubekeur Benbouzid a procédé, hier, à l'annulation des premiers jours de vacances institués pour les mois de février et de mai afin de pouvoir rattraper le retard enregistré dans les cours et engendré par une grève qui a paralysé son secteur durant trois semaine. «Les vacances seront maintenues à l'exception des quatre premiers jours des vacances d'hiver (dimanche, lundi, mardi et mercredi) qui seront consacrés aux compositions du premier trimestre pour les classes de terminale», a tranché le ministre. En ayant terminé avec la grève, le ministre de l'Education nationale devait réfléchir à un calendrier particulier pour récupérer le programme non enseigné à temps. C'est pourquoi il s'est reuni, hier, avec cinq syndicats de son secteur, à savoir, le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), le Conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et technique (Cnapest), l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation, le Syndicat national autonome du personnel de l'administration publique et le Syndicat national des travailleurs de l'éducation. Le ministre a déclaré au cours de cette réunion que «tout le monde est d'accord sur la nécessité d'appliquer le programme de rattrapage des cours perdus, dans des conditions normales, sans recours ni à la précipitation ni à la surcharge». Les parties syndicales convaincues que la récupération du programme est possible lors du laps de temps imparti, ont soutenu que la première semaine des congés d'hiver ne sera pas consacrée au repos pour les candidats du baccalauréat, puisque ces derniers devront subir les compositions du premier trimestre. Se voulant rassurant à l'égard des lycéens, qui redoutent déjà leur examen de passage à l'université, Benbouzid a affirmé que les épreuves «ne sortiront pas du cadre des cours dispensés dans les lycées». Il expliquera que «c'est la commission nationale de suivi de l'application des programmes, opérationnelle jusqu'au 25 mai prochain, qui déterminera les parties des programmes à partir desquels seront élaborés les sujets des épreuves du baccalauréat», selon ce qu'a rapporté l'APS. Pour le Cla, cependant, l'allègement du programme a toujours constitué une revendication syndicale, ceci dit cette décision ministérielle n'est pas suffisante pour changer la réalité des choses. «Nous avons décidé de récupérer les trois jours de février et d'avril, alors que le reste des jours à récupérer sera échelonné sur toute l'année. Nous ne toucherons ni aux samedis ni aux mardis après- midis», a déclaré le premier numéro, Méziane Mériane au Midi Libre. S'agissant du décalage de la date des épreuves du baccalauréat, Mériane a estimé que «l'horloge algérienne ne doit pas être affecté par un évènement international». Le ministre devra se réunir dès demain avec des syndicats de son secteur à l'image du Cnapest et du Snapest pour mettre en place les commissions mixtes prenant en charge l'étude de certains points revendiqués tel le régime indemnitaire et les œuvres sociales. Tel qu'appréhendé par les syndicats, le ministre de l'Education nationale Boubekeur Benbouzid a procédé, hier, à l'annulation des premiers jours de vacances institués pour les mois de février et de mai afin de pouvoir rattraper le retard enregistré dans les cours et engendré par une grève qui a paralysé son secteur durant trois semaine. «Les vacances seront maintenues à l'exception des quatre premiers jours des vacances d'hiver (dimanche, lundi, mardi et mercredi) qui seront consacrés aux compositions du premier trimestre pour les classes de terminale», a tranché le ministre. En ayant terminé avec la grève, le ministre de l'Education nationale devait réfléchir à un calendrier particulier pour récupérer le programme non enseigné à temps. C'est pourquoi il s'est reuni, hier, avec cinq syndicats de son secteur, à savoir, le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), le Conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et technique (Cnapest), l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation, le Syndicat national autonome du personnel de l'administration publique et le Syndicat national des travailleurs de l'éducation. Le ministre a déclaré au cours de cette réunion que «tout le monde est d'accord sur la nécessité d'appliquer le programme de rattrapage des cours perdus, dans des conditions normales, sans recours ni à la précipitation ni à la surcharge». Les parties syndicales convaincues que la récupération du programme est possible lors du laps de temps imparti, ont soutenu que la première semaine des congés d'hiver ne sera pas consacrée au repos pour les candidats du baccalauréat, puisque ces derniers devront subir les compositions du premier trimestre. Se voulant rassurant à l'égard des lycéens, qui redoutent déjà leur examen de passage à l'université, Benbouzid a affirmé que les épreuves «ne sortiront pas du cadre des cours dispensés dans les lycées». Il expliquera que «c'est la commission nationale de suivi de l'application des programmes, opérationnelle jusqu'au 25 mai prochain, qui déterminera les parties des programmes à partir desquels seront élaborés les sujets des épreuves du baccalauréat», selon ce qu'a rapporté l'APS. Pour le Cla, cependant, l'allègement du programme a toujours constitué une revendication syndicale, ceci dit cette décision ministérielle n'est pas suffisante pour changer la réalité des choses. «Nous avons décidé de récupérer les trois jours de février et d'avril, alors que le reste des jours à récupérer sera échelonné sur toute l'année. Nous ne toucherons ni aux samedis ni aux mardis après- midis», a déclaré le premier numéro, Méziane Mériane au Midi Libre. S'agissant du décalage de la date des épreuves du baccalauréat, Mériane a estimé que «l'horloge algérienne ne doit pas être affecté par un évènement international». Le ministre devra se réunir dès demain avec des syndicats de son secteur à l'image du Cnapest et du Snapest pour mettre en place les commissions mixtes prenant en charge l'étude de certains points revendiqués tel le régime indemnitaire et les œuvres sociales.