Décidément, le ministre de la Santé, Saïd Barkat, n'est pas au bout de ses surprises. Alors qu'il avait réuni, jeudi dernier, ses cadres avec les membres du syndicat gréviste, en l'occurrence, le Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp), pour mettre un terme à la contestation du personnel médical qui paralyse depuis deux semaines déjà les structures sanitaires du pays, revoilà que la grève rebondit de nouveau. En effet, lors de son dernier point de presse, animé en début de semaine, le président du Snpsp, le Dr Lyes Merabet, avait déclaré que la réunion en question s'était achevée, comme à l'accoutumée, par la signature d'un P-V sans «aucun effet concret sur le terrain». En outre, les médecins radicalisent leur mouvement de protestation protestant, également, contre les dernières décisions prises par le gouvernement, notamment, le SNMG à 15.000 DA qu'ils qualifient de «misérable» pour les fonctionnaires, ainsi que l'abrogation de la loi concernant le départ à la retraite sans condition d'âge. Pour les patriciens de la santé, revenir sur cette décision en application depuis 1997,«n'est d'aucun intérêt réel pour le pays». Ceci dit, ces doléances s'ajouteront désormais à la plateforme de revendications du syndicat, brandie depuis le début de leur grève. Elle concerne, rappelons-le, le statut particulier du praticien généraliste de la santé ainsi que l'ouverture des négociations sur le régime indemnitaire avec des garanties quant à son application avec effet rétroactif. Cependant, les centres hospitaliers et toute autre structure sanitaire ont été paralysés depuis hier par une grève cyclique de trois jours. En revanche, près de 18.000 praticiens grévistes s'engagent à assurer les soins contre la propagation de la grippe A, c'est-à-dire, assurer pleinement la campagne de vaccination contre le virus A/H1N1. Décidément, le ministre de la Santé, Saïd Barkat, n'est pas au bout de ses surprises. Alors qu'il avait réuni, jeudi dernier, ses cadres avec les membres du syndicat gréviste, en l'occurrence, le Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp), pour mettre un terme à la contestation du personnel médical qui paralyse depuis deux semaines déjà les structures sanitaires du pays, revoilà que la grève rebondit de nouveau. En effet, lors de son dernier point de presse, animé en début de semaine, le président du Snpsp, le Dr Lyes Merabet, avait déclaré que la réunion en question s'était achevée, comme à l'accoutumée, par la signature d'un P-V sans «aucun effet concret sur le terrain». En outre, les médecins radicalisent leur mouvement de protestation protestant, également, contre les dernières décisions prises par le gouvernement, notamment, le SNMG à 15.000 DA qu'ils qualifient de «misérable» pour les fonctionnaires, ainsi que l'abrogation de la loi concernant le départ à la retraite sans condition d'âge. Pour les patriciens de la santé, revenir sur cette décision en application depuis 1997,«n'est d'aucun intérêt réel pour le pays». Ceci dit, ces doléances s'ajouteront désormais à la plateforme de revendications du syndicat, brandie depuis le début de leur grève. Elle concerne, rappelons-le, le statut particulier du praticien généraliste de la santé ainsi que l'ouverture des négociations sur le régime indemnitaire avec des garanties quant à son application avec effet rétroactif. Cependant, les centres hospitaliers et toute autre structure sanitaire ont été paralysés depuis hier par une grève cyclique de trois jours. En revanche, près de 18.000 praticiens grévistes s'engagent à assurer les soins contre la propagation de la grippe A, c'est-à-dire, assurer pleinement la campagne de vaccination contre le virus A/H1N1.