Des parlementaires des trois principaux partis politiques britanniques, des ambassadeurs, des responsables d'organisations syndicales et des avocats ont adressé une lettre au Premier ministre britannique Gordon Brown l'appelant à «agir» pour permettre à la militante sahraouie Aminatou Haider de retourner dans son pays et jouir de tous ses droits, a indiqué hier l'agence de presse sahraouie (SPS). Cette lettre coïncide avec la remise du prix Nobel de la paix au président américain Barack Obama et le 61e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme, souligne la même source avant de préciser qu'une délégation a remis une lettre signée par 37 personnalités britanniques au Premier ministre britannique Gordon Brown de la part de la militante sahraouie Aminatou Haider «en grève de la faim à Lanzarote (Espagne) pour protester contre son expulsion illégale». En outre, la militante sahraouie appelle le gouvernement britannique à faire pression sur le Maroc «non seulement pour lui permettre de retourner dans son pays, un droit que lui garantit l'article 12 de la convention internationale des droits civiques et politiques, mais aussi de l'obliger à accepter une solution sur la base du droit international». D'autre part, l'organisation américaine Human Rights Watch (HRW) a exprimé dans une lettre adressée au commissariat européen des droits de l'Homme sa préoccupation par l'expulsion du Maroc de la militante sahraouie des droits de l'Homme vers l'Espagne, a rapporté aussi, hier l'Agence de presse sahraouie (SPS). Human Rights Watch exprime également son inquiétude car «les autorités espagnoles n'ont pas aidé la militante sahraouie à retourner chez elle», ajoute la même source avant de préciser que L'Espagne «a violé toutes les lois nationales espagnoles, notamment l'article 2 du protocole de la convention européenne pour la protection des droits de l'Homme et des libertés fondamentales qu'elle a adoptées». Human Rights Watch a appelé enfin le commissariat européen des droits de l'Homme à prendre les mesures nécessaires pour garantir à Mme Aminatou Haider tous ses droits y compris le droit de sortie du territoire espagnol. De son côté, le ministre des Affaires étrangères de Timor-Leste, M. Zacarias Albano Da Costa, a appelé le gouvernement marocain à permettre à l'activiste sahraouie des droits de l'Homme, Mme Aminatou Haider de retourner auprès de sa famille au Sahara Occidental «le plus tôt possible», a rapporté hier l'Agence de presse sahraouie (SPS). Auparavant, le président de la République de Timor-Leste, M. José Ramos Horta, avait exprimé sa solidarité avec l'activiste sahraouie Aminatou Haider la qualifiant de «symbole de la lutte du peuple sahraoui pour l'autodétermination et l'indépendance», ajoute la même source. Des parlementaires des trois principaux partis politiques britanniques, des ambassadeurs, des responsables d'organisations syndicales et des avocats ont adressé une lettre au Premier ministre britannique Gordon Brown l'appelant à «agir» pour permettre à la militante sahraouie Aminatou Haider de retourner dans son pays et jouir de tous ses droits, a indiqué hier l'agence de presse sahraouie (SPS). Cette lettre coïncide avec la remise du prix Nobel de la paix au président américain Barack Obama et le 61e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme, souligne la même source avant de préciser qu'une délégation a remis une lettre signée par 37 personnalités britanniques au Premier ministre britannique Gordon Brown de la part de la militante sahraouie Aminatou Haider «en grève de la faim à Lanzarote (Espagne) pour protester contre son expulsion illégale». En outre, la militante sahraouie appelle le gouvernement britannique à faire pression sur le Maroc «non seulement pour lui permettre de retourner dans son pays, un droit que lui garantit l'article 12 de la convention internationale des droits civiques et politiques, mais aussi de l'obliger à accepter une solution sur la base du droit international». D'autre part, l'organisation américaine Human Rights Watch (HRW) a exprimé dans une lettre adressée au commissariat européen des droits de l'Homme sa préoccupation par l'expulsion du Maroc de la militante sahraouie des droits de l'Homme vers l'Espagne, a rapporté aussi, hier l'Agence de presse sahraouie (SPS). Human Rights Watch exprime également son inquiétude car «les autorités espagnoles n'ont pas aidé la militante sahraouie à retourner chez elle», ajoute la même source avant de préciser que L'Espagne «a violé toutes les lois nationales espagnoles, notamment l'article 2 du protocole de la convention européenne pour la protection des droits de l'Homme et des libertés fondamentales qu'elle a adoptées». Human Rights Watch a appelé enfin le commissariat européen des droits de l'Homme à prendre les mesures nécessaires pour garantir à Mme Aminatou Haider tous ses droits y compris le droit de sortie du territoire espagnol. De son côté, le ministre des Affaires étrangères de Timor-Leste, M. Zacarias Albano Da Costa, a appelé le gouvernement marocain à permettre à l'activiste sahraouie des droits de l'Homme, Mme Aminatou Haider de retourner auprès de sa famille au Sahara Occidental «le plus tôt possible», a rapporté hier l'Agence de presse sahraouie (SPS). Auparavant, le président de la République de Timor-Leste, M. José Ramos Horta, avait exprimé sa solidarité avec l'activiste sahraouie Aminatou Haider la qualifiant de «symbole de la lutte du peuple sahraoui pour l'autodétermination et l'indépendance», ajoute la même source.