La fermeture du marché informel de fruits et légumes de Ben Aknoun, installé à proximité de la cité Merzoug, a été largement contestée par les habitants de cette cité et même par ceux des cités avoisinantes. Les protestataires reprochent à l'APC, qui a procédé à la fermeture du marché, de n'avoir pas pris en considération la problématique des petites bourses pour lesquelles ce marché était une véritable bouée de sauvetage. Il faut préciser que dans cette localité située sur les hauteurs de la capitale, il n'existe qu'un seul marché de fruits et légumes, à savoir celui situé sur la route des Deux-Bassins. Ce marché vise en premier lieu la catégorie la plus aisée de la société au vu des prix qui y sont affichés. «C'est un marché pour les riches», déplorent les habitants de la cité Merzoug. C'est pratiquement l'ensemble des riverains de ce marché qui se voient ainsi contraints de se déplacer jusqu'au marché d'El -Biar ou celui de Bab El-Oued pour y effectuer leurs courses quotidiennes à des prix plus ou moins raisonnables. Certains de ces citoyens mécontents n'hésitent pas à pointer du doigt les commerçants du marché des Deux-Bassins, qu'ils accusent d'être derrière cette décision de fermeture, "afin de pouvoir remplir encore plus leur tiroir-caisse", nous ditont-ils. La fermeture du marché informel de fruits et légumes de Ben Aknoun, installé à proximité de la cité Merzoug, a été largement contestée par les habitants de cette cité et même par ceux des cités avoisinantes. Les protestataires reprochent à l'APC, qui a procédé à la fermeture du marché, de n'avoir pas pris en considération la problématique des petites bourses pour lesquelles ce marché était une véritable bouée de sauvetage. Il faut préciser que dans cette localité située sur les hauteurs de la capitale, il n'existe qu'un seul marché de fruits et légumes, à savoir celui situé sur la route des Deux-Bassins. Ce marché vise en premier lieu la catégorie la plus aisée de la société au vu des prix qui y sont affichés. «C'est un marché pour les riches», déplorent les habitants de la cité Merzoug. C'est pratiquement l'ensemble des riverains de ce marché qui se voient ainsi contraints de se déplacer jusqu'au marché d'El -Biar ou celui de Bab El-Oued pour y effectuer leurs courses quotidiennes à des prix plus ou moins raisonnables. Certains de ces citoyens mécontents n'hésitent pas à pointer du doigt les commerçants du marché des Deux-Bassins, qu'ils accusent d'être derrière cette décision de fermeture, "afin de pouvoir remplir encore plus leur tiroir-caisse", nous ditont-ils.