La quatrième édition du Festival culturel national des Aïssaoua qui se tient à Mila du 13 au 18 décembre sous le thème "La philosophie de l'invocation et son influence dans les milieux des zaouïas" a le mérite de faire découvrir une autre facette de cette confrérie et ses modes de vie. Une confrérie qui a vu le jour au Sahara Occidental avant de s'installer dans l'ouest du pays et d'essaimer un peu partout sur le territoire national à l'effet de vulgariser son savoir religieux auprès des populations ayant adhéré à leur "tariqa". Des troupes Aïssaoua venues des wilayas de Biskra, Ghardaïa, Annaba, Médéa, Guelma, Ouargla, Aïn Beïda, Souk Ahras, Mostaganem, Constantine et Béchar prennent part à cette grande manifestation culturelle qu'agrémenteront des conférences sur le soufisme et les Aïssaoua animées par d'éminentes personnalités à l'image du docteur Zaïm Khenchelaoui, directeur de l'Institut de recherches en anthropologie religieuse, Abdelmounaïm El Kacemi El Hosni de l'université d'Alger, les professeurs Saïd Djabelkheïr de l'université d'Alger et Saâd Khemissi de l'Université de Constantine. Lors de la première édition, les Mileviens ont découvert les "jeux et les madaïh" des troupes Aïssaoua de toutes les régions du pays avec leur originalité et leur mystère jusque-là méconnus de la plupart des visiteurs, ce qui a permis à ces derniers de mieux connaître les Aïssaoua et d'avoir une idée plus vaste sur le rôle que joue cette confrérie dans l'éducation des masses dans tous les domaines pratiques du quotidien de ses adeptes. La deuxième édition aura été l'occasion pour les curieux et les visiteurs de connaître l'origine des Aïssaoua et du soufisme, la troisième aura, quant à elle, apporté un aperçu sur l'enseignement et le savoir dans le soufisme. Cette édition sera un autre complément aux thèmes déjà développés et, comme à l'accoutumée, elle drainera la grande foule à la salle de spectacles de la maison de la culture de Mila qui, encore une fois, s'avérera trop exiguë pour contenir le nombre impressionnant de visiteurs qui rallieront Mila à partir de tous les coins d'Algérie. La quatrième édition du Festival culturel national des Aïssaoua qui se tient à Mila du 13 au 18 décembre sous le thème "La philosophie de l'invocation et son influence dans les milieux des zaouïas" a le mérite de faire découvrir une autre facette de cette confrérie et ses modes de vie. Une confrérie qui a vu le jour au Sahara Occidental avant de s'installer dans l'ouest du pays et d'essaimer un peu partout sur le territoire national à l'effet de vulgariser son savoir religieux auprès des populations ayant adhéré à leur "tariqa". Des troupes Aïssaoua venues des wilayas de Biskra, Ghardaïa, Annaba, Médéa, Guelma, Ouargla, Aïn Beïda, Souk Ahras, Mostaganem, Constantine et Béchar prennent part à cette grande manifestation culturelle qu'agrémenteront des conférences sur le soufisme et les Aïssaoua animées par d'éminentes personnalités à l'image du docteur Zaïm Khenchelaoui, directeur de l'Institut de recherches en anthropologie religieuse, Abdelmounaïm El Kacemi El Hosni de l'université d'Alger, les professeurs Saïd Djabelkheïr de l'université d'Alger et Saâd Khemissi de l'Université de Constantine. Lors de la première édition, les Mileviens ont découvert les "jeux et les madaïh" des troupes Aïssaoua de toutes les régions du pays avec leur originalité et leur mystère jusque-là méconnus de la plupart des visiteurs, ce qui a permis à ces derniers de mieux connaître les Aïssaoua et d'avoir une idée plus vaste sur le rôle que joue cette confrérie dans l'éducation des masses dans tous les domaines pratiques du quotidien de ses adeptes. La deuxième édition aura été l'occasion pour les curieux et les visiteurs de connaître l'origine des Aïssaoua et du soufisme, la troisième aura, quant à elle, apporté un aperçu sur l'enseignement et le savoir dans le soufisme. Cette édition sera un autre complément aux thèmes déjà développés et, comme à l'accoutumée, elle drainera la grande foule à la salle de spectacles de la maison de la culture de Mila qui, encore une fois, s'avérera trop exiguë pour contenir le nombre impressionnant de visiteurs qui rallieront Mila à partir de tous les coins d'Algérie.