A l'instar des autres régions du pays, la bataille des sénatoriales a bel et bien commencé à Béjaïa. La fièvre électorale s'est déjà emparée des élus locaux, notamment ceux tentés par ce prestigieux poste de sénateur. Un travail de coulisses, qui consiste à mener des tractations visant à glaner des voix en plus en faveur d'un candidat ou d'une formation politique, bat son plein dans le milieu politique local. Les voix des élus indépendants, qui jouent un rôle prépondérant dans cette bataille électorale, semblent être les plus convoitées par les représentants des partis et les différents postulants à cette fonction de haut cadre de la Nation. En l'absence du FFS qui rejette, comme à l'accoutumée, ce genre d'élections, le parti de Saïd Sadi semble avoir le vent en poupe. Fort de ses 113 élus locaux (APC – APW), suivi du FLN avec 93 élus, le RCD ambitionne de s'adjuger le seul poste de sénateur à pourvoir au niveau de la Wilaya de Béjaïa, après avoir raté le coche de près et à deux reprises, en 2006, face à son concurrent le FLN. C'est le Dr. Laâziz Kessas, médecin coordinateur à la direction des œuvres universitaires (DOU) de Béjaïa et élu à l'APW qui défendra les couleurs du RCD lors de ces joutes électorales. Le représentant du RCD, qui a eu à assumer quelques responsabilités au sein du parti, dont le poste de président du bureau régional de Béjaïa à deux reprises, a été élu à la majorité écrasante par ses pairs, lors des élections primaires organisées au niveau interne, le 5 décembre dernier. Quant au FLN, qui a également tenu une élection primaire au niveau de sa Mouhafadha de Béjaïa, c'est Salah Derradji, recteur de l'université d'El Tarf, qui a été désigné pour représenter le parti lors des élections sénatoriales du 29 décembre prochain. Présidée par Noureddine Bounnouar, vice-président de l'APN et ex-ministre du Tourisme, et Badreddine Benziaouche, membre de la commission exécutive nationale et ex-ministre de la Ville, cette rencontre des élus FLN a eu lieu dans une ambiance électrique. En effet, le principal rival de M. Derradji, M. Bourouih Mohand Akli en l'occurrence, qui a eu la majorité des voix au premier tour du vote, rejette les résultats du scrutin et menace de se porter candidat libre, si jamais son parti refuse de le déléguer. Selon des élus présents à cette réunion, c'est l'élu à l'APW, Me Messaoudi Allaoua, classé à la troisième place, qui a influencé sur le cours de cette élection primaire au profit du candidat Derradji, en exhibant à l'assistance des documents compromettants liés aux affaires douteuses dans lesquelles serait impliqué l'élu Bourouih, dans le seul but d'éliminer de la course ce dernier. M. Bourouih, voulant se présenter en indépendant, verra sa candidature rejetée par les services de la DRAG de Béjaïa. Le parti de Belkhadem est en proie à une crise sans précédent dans la wilaya de Béjaïa. Même climat de déception au RND, où les élections primaires tenues le 13 novembre dernier, ont donné lieu à la désignation de l'actuel maire d'Akbou, Abderrahmane Benseba, comme candidat du parti à ces joutes électorales. L'heureux élu, qui a eu 27 voix sur les 59 votants, suivi de M. Toufik Touahria, élu à l'APW de Béjaïa avec 12 voix, n'a, toutefois, pas eu la majorité absolue des voix exprimées, ce qui n'a pas laissé indifférents les autres postulants qui ont émis le vœu d'organiser un deuxième tour, chose qui finalement n'a pas eu lieu. A l'instar des autres régions du pays, la bataille des sénatoriales a bel et bien commencé à Béjaïa. La fièvre électorale s'est déjà emparée des élus locaux, notamment ceux tentés par ce prestigieux poste de sénateur. Un travail de coulisses, qui consiste à mener des tractations visant à glaner des voix en plus en faveur d'un candidat ou d'une formation politique, bat son plein dans le milieu politique local. Les voix des élus indépendants, qui jouent un rôle prépondérant dans cette bataille électorale, semblent être les plus convoitées par les représentants des partis et les différents postulants à cette fonction de haut cadre de la Nation. En l'absence du FFS qui rejette, comme à l'accoutumée, ce genre d'élections, le parti de Saïd Sadi semble avoir le vent en poupe. Fort de ses 113 élus locaux (APC – APW), suivi du FLN avec 93 élus, le RCD ambitionne de s'adjuger le seul poste de sénateur à pourvoir au niveau de la Wilaya de Béjaïa, après avoir raté le coche de près et à deux reprises, en 2006, face à son concurrent le FLN. C'est le Dr. Laâziz Kessas, médecin coordinateur à la direction des œuvres universitaires (DOU) de Béjaïa et élu à l'APW qui défendra les couleurs du RCD lors de ces joutes électorales. Le représentant du RCD, qui a eu à assumer quelques responsabilités au sein du parti, dont le poste de président du bureau régional de Béjaïa à deux reprises, a été élu à la majorité écrasante par ses pairs, lors des élections primaires organisées au niveau interne, le 5 décembre dernier. Quant au FLN, qui a également tenu une élection primaire au niveau de sa Mouhafadha de Béjaïa, c'est Salah Derradji, recteur de l'université d'El Tarf, qui a été désigné pour représenter le parti lors des élections sénatoriales du 29 décembre prochain. Présidée par Noureddine Bounnouar, vice-président de l'APN et ex-ministre du Tourisme, et Badreddine Benziaouche, membre de la commission exécutive nationale et ex-ministre de la Ville, cette rencontre des élus FLN a eu lieu dans une ambiance électrique. En effet, le principal rival de M. Derradji, M. Bourouih Mohand Akli en l'occurrence, qui a eu la majorité des voix au premier tour du vote, rejette les résultats du scrutin et menace de se porter candidat libre, si jamais son parti refuse de le déléguer. Selon des élus présents à cette réunion, c'est l'élu à l'APW, Me Messaoudi Allaoua, classé à la troisième place, qui a influencé sur le cours de cette élection primaire au profit du candidat Derradji, en exhibant à l'assistance des documents compromettants liés aux affaires douteuses dans lesquelles serait impliqué l'élu Bourouih, dans le seul but d'éliminer de la course ce dernier. M. Bourouih, voulant se présenter en indépendant, verra sa candidature rejetée par les services de la DRAG de Béjaïa. Le parti de Belkhadem est en proie à une crise sans précédent dans la wilaya de Béjaïa. Même climat de déception au RND, où les élections primaires tenues le 13 novembre dernier, ont donné lieu à la désignation de l'actuel maire d'Akbou, Abderrahmane Benseba, comme candidat du parti à ces joutes électorales. L'heureux élu, qui a eu 27 voix sur les 59 votants, suivi de M. Toufik Touahria, élu à l'APW de Béjaïa avec 12 voix, n'a, toutefois, pas eu la majorité absolue des voix exprimées, ce qui n'a pas laissé indifférents les autres postulants qui ont émis le vœu d'organiser un deuxième tour, chose qui finalement n'a pas eu lieu.