Le Rassemblement national démocratique appelle à lutter contre la corruption politique à l'approche des élections sénatoriales prévues pour le 29 décembre prochain. «Il est plus que nécessaire de réfléchir à un mécanisme législatif à mettre en place pour lutter contre ce genre de corruption politique nouvelle qui prend de l'ampleur lors de telles échéances. Il faut créer un front national qui regroupera toutes les formations politiques afin de couper la route à ces aventuriers», a expliqué Miloud Chorfi, jeudi dernier à Saïda, lors d'une réunion tenue avec les militants et élus locaux du parti. Le parti de l'actuel Premier ministre Ahmed Ouyahia, par cette proposition, veut contrecarrer les opportunistes de tous bords et le business de voix qui s'effectue à grande échelle au niveau de plusieurs wilayas dans le but de briguer un poste à l'auguste Conseil de la nation. C'est dans cette optique justement que le RND a scellé une alliance avec le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, et ce afin de «barrer la route devant les manipulateurs, qui cherchent à accaparer les voix des électeurs», a soutenu Miloud Chorfi, jugeant «opportun et nécessaire» la conclusion d'un tel accord politique. Et d'ajouter que cela constitue «un pas de plus vers l'approfondissement du dialogue et de la consultation dans toutes les affaires qui servent l'intérêt suprême du pays, consacrant ainsi la pratique démocratique dans le pays», en guise de réponse aux allégations concoctées autour de cette alliance. Néanmoins, cette alliance n'a pas manqué de susciter des interrogations, notamment du côté du vieux parti qui ne semble pas digérer cette option, qui pourrait le détrôner de sa majorité au Sénat. Du côté du RND, la confiance et la quiétude règnent en maître mot. Pour preuve, la formation de Ahmed Ouyahia a exhorté «les partenaires politiques et les forces actives à se mobiliser pour concrétiser ce programme visant à une contribution efficace et sérieuse pour trouver des solutions aux problèmes des citoyens», faisant allusion au programme de développement du président de la République, et appelant par là même à des alliances autres que celles établies avec ses partenaires de l'Alliance présidentielle et celle conclue récemment avec le PT. Par ailleurs, le porte-parole du Rassemblement a annoncé l'éviction d'au moins dix-huit parmi les sénateurs du parti dont le mandat a expiré, et le maintien de douze autres afin de renforcer l'ancrage du RND au Conseil de la nation. Pour cela, Miloud Chorfi a exprimé sa satisfaction de l'intégrité et la rectitude dont ont fait montre les élus locaux dans plusieurs wilayas, et la sérénité qui a caractérisé le choix des futurs candidats aux sénatoriales. Le Rassemblement national démocratique appelle à lutter contre la corruption politique à l'approche des élections sénatoriales prévues pour le 29 décembre prochain. «Il est plus que nécessaire de réfléchir à un mécanisme législatif à mettre en place pour lutter contre ce genre de corruption politique nouvelle qui prend de l'ampleur lors de telles échéances. Il faut créer un front national qui regroupera toutes les formations politiques afin de couper la route à ces aventuriers», a expliqué Miloud Chorfi, jeudi dernier à Saïda, lors d'une réunion tenue avec les militants et élus locaux du parti. Le parti de l'actuel Premier ministre Ahmed Ouyahia, par cette proposition, veut contrecarrer les opportunistes de tous bords et le business de voix qui s'effectue à grande échelle au niveau de plusieurs wilayas dans le but de briguer un poste à l'auguste Conseil de la nation. C'est dans cette optique justement que le RND a scellé une alliance avec le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, et ce afin de «barrer la route devant les manipulateurs, qui cherchent à accaparer les voix des électeurs», a soutenu Miloud Chorfi, jugeant «opportun et nécessaire» la conclusion d'un tel accord politique. Et d'ajouter que cela constitue «un pas de plus vers l'approfondissement du dialogue et de la consultation dans toutes les affaires qui servent l'intérêt suprême du pays, consacrant ainsi la pratique démocratique dans le pays», en guise de réponse aux allégations concoctées autour de cette alliance. Néanmoins, cette alliance n'a pas manqué de susciter des interrogations, notamment du côté du vieux parti qui ne semble pas digérer cette option, qui pourrait le détrôner de sa majorité au Sénat. Du côté du RND, la confiance et la quiétude règnent en maître mot. Pour preuve, la formation de Ahmed Ouyahia a exhorté «les partenaires politiques et les forces actives à se mobiliser pour concrétiser ce programme visant à une contribution efficace et sérieuse pour trouver des solutions aux problèmes des citoyens», faisant allusion au programme de développement du président de la République, et appelant par là même à des alliances autres que celles établies avec ses partenaires de l'Alliance présidentielle et celle conclue récemment avec le PT. Par ailleurs, le porte-parole du Rassemblement a annoncé l'éviction d'au moins dix-huit parmi les sénateurs du parti dont le mandat a expiré, et le maintien de douze autres afin de renforcer l'ancrage du RND au Conseil de la nation. Pour cela, Miloud Chorfi a exprimé sa satisfaction de l'intégrité et la rectitude dont ont fait montre les élus locaux dans plusieurs wilayas, et la sérénité qui a caractérisé le choix des futurs candidats aux sénatoriales.