A l'appel de plusieurs organisations palestiniennes, une grande manifestation a eu lieu dimanche dernier à Paris. La marche s'est ébranlée de Denfert-Rochereau pour rejoindre le grand rassemblement sur le parvis de Notre-Dame. Remarquablement organisée, la marche a réuni plusieurs centaines de militants de la cause palestinienne pour commmémorer le triste anniversaire du début du blocus de Ghaza par Israël. En decembre 2008, l'armée israélienne avait mené plusieurs bombardements meurtriers sur la population des territoires palestiniens, le bilan avait été très lourd mille 350 morts et 5 mille 450 blessés. Les photos de certains de ces martyrs étaient brandies. Les slogans scandés rappelaient tous la situation inhumaine des Ghazaouis. "Israël assassin" , Israël boycott", "Solidarité avec la résistance" "Nous sommes tous Palestiniens", slogans repris à pleins poumons par un jeune homme juché sur un camion. Dans leurs communiqués, les différents organisateurs ont appelé à manifester contre le blocus économique, le nettoyage ethnique que mène Israël en Palestine, l'expropriation des familles chassées de leurs terres et pour les 10 mille prisonniers des geôles israéliennes. Le carré de l'extrême-gauche française, dont le parti NPA, etait animé par une jeune femme, haut-parleur brandi tout au long du parcours. Pour dénoncer l'apathie de certains dirigeants arabes et la complicité des Occidentaux, elle criait "Moubarek, Sarkozy ou Obama", la foule des marcheurs répond "complices !". De grands drapeaux palestiniens tendus au-dessus des têtes par des dizaines de mains mais aussi des emblèmes de pays arabes comme l'Algérie, l'Irak ou le Liban. Et cette banderole portant "Ghaza = Auschwitz", qui en aura choqué plus d'un parmi les badauds. La marche a été encadrée par un impressionnant dispositif policier. Des fourgons par dizaines, des policiers avec casques et boucliers ont sillonné les avenues notamment à proximité de la cathédrale Notre-Dame. L'itinéraire a été âprement négocié avec la préfecture de police, car la période est au tourisme à Paris et probablement aussi pour des raisons de sécurité. Ce genre de manifestation n'est jamais à l'abri de provocateurs. A signaler que des marches similaires ont été organisées dans différentes villes françaises. A l'appel de plusieurs organisations palestiniennes, une grande manifestation a eu lieu dimanche dernier à Paris. La marche s'est ébranlée de Denfert-Rochereau pour rejoindre le grand rassemblement sur le parvis de Notre-Dame. Remarquablement organisée, la marche a réuni plusieurs centaines de militants de la cause palestinienne pour commmémorer le triste anniversaire du début du blocus de Ghaza par Israël. En decembre 2008, l'armée israélienne avait mené plusieurs bombardements meurtriers sur la population des territoires palestiniens, le bilan avait été très lourd mille 350 morts et 5 mille 450 blessés. Les photos de certains de ces martyrs étaient brandies. Les slogans scandés rappelaient tous la situation inhumaine des Ghazaouis. "Israël assassin" , Israël boycott", "Solidarité avec la résistance" "Nous sommes tous Palestiniens", slogans repris à pleins poumons par un jeune homme juché sur un camion. Dans leurs communiqués, les différents organisateurs ont appelé à manifester contre le blocus économique, le nettoyage ethnique que mène Israël en Palestine, l'expropriation des familles chassées de leurs terres et pour les 10 mille prisonniers des geôles israéliennes. Le carré de l'extrême-gauche française, dont le parti NPA, etait animé par une jeune femme, haut-parleur brandi tout au long du parcours. Pour dénoncer l'apathie de certains dirigeants arabes et la complicité des Occidentaux, elle criait "Moubarek, Sarkozy ou Obama", la foule des marcheurs répond "complices !". De grands drapeaux palestiniens tendus au-dessus des têtes par des dizaines de mains mais aussi des emblèmes de pays arabes comme l'Algérie, l'Irak ou le Liban. Et cette banderole portant "Ghaza = Auschwitz", qui en aura choqué plus d'un parmi les badauds. La marche a été encadrée par un impressionnant dispositif policier. Des fourgons par dizaines, des policiers avec casques et boucliers ont sillonné les avenues notamment à proximité de la cathédrale Notre-Dame. L'itinéraire a été âprement négocié avec la préfecture de police, car la période est au tourisme à Paris et probablement aussi pour des raisons de sécurité. Ce genre de manifestation n'est jamais à l'abri de provocateurs. A signaler que des marches similaires ont été organisées dans différentes villes françaises.