Nous nous abstenons dans cet écrit à être des donneurs de leçons.Les faits sont assez graves pour être dénoncés. Après avoir promis la tenue du procès de MEDJNOUN à la prochaine session d'abord à l'intéressé qui était en grève de la faim et qui a failli périr, après avoir été convoqué par le parquet général afin que nous cessions d'avertir l'opinion par le biais de la presse , après la promesse faite à M le Bâtonnier sur la tenue réelle de ce procès par le parquet général ,nous avons rédigé une requête aux différents responsables de la cour pour nous confirmer la programmation du procès nous venons d'être informés par le premier responsable de la cour que : 1-Le dossier du supplétif d'instruction est toujours ouvert sous la haute autorité du Magistrat qui avait le .8 juin 2008 décidé du complément d'information. Question COMMENT CROIRE A UNE PROGRAMMATION DU PROCES DU MOMENT QUE LE DOSSIER D'INSTRUCTION N'EST PAS CLOS? 2-Nous avons formulé deux requêtes pour demander la liberté provisoire pour notre mandant. Nous avons été informés par les services de M Le Président de la cour que notre requête a été classée. Cette façon de procéder est un non sens car si la requéte avait été refusée par la chambre d'accusation le refus aurait du être motivé.Ce classement permet au « fonctionnaire » judiciaire de ne pas donner les vraies raisons sachant que la demande de liberté provisoire n'est pas susceptible de pourvoi en cassation . Détenu depuis le 28/09/99 à la prison de TIZI-OUZOU MEDJNOUN Malik est un cas unique dans les annales judiciaires du monde entier. Ce triste record de DETENTION PROVISOIRE nous le devons à la fonction du système judiciaire en ALGERIE.Nous avons mal à le dire car ce pays est le nôtre! Lectures: