Journ�e de joie et de liesse populaire au village A�t-Salah (Bouzegu�ne) qui a r�ceptionn� une belle unit� de soins r�alis�e par les villageois. Ce sont des dons, des cotisations et le volontariat qui ont permis cette r�alisation et ce, dans le cadre d�un projet global incluant un centre culturel, une salle de sport et un gigantesque monument d�di� aux nombreux martyrs du village sur une vaste esplanade faisant face au Djurdjura. Le tout ayant co�t� au village environ un milliard de centimes dont 392 millions provenant des fonds publics d�bloqu�s suite � la visite du wali en 2006. La structure sanitaire vient � point nomm� pour soulager la population de 5 000 �mes de longs et co�teux d�placements jusqu�� l�EPSP de Louda qui se trouve � l�extr�mit� ouest de la commune. Elle a �t� inaugur�e par le P/APW de Tizi-Ouzou Mahfoud Belabbes et Hanouti Sa�di, vice-pr�sident, dans une visite qui r�pond � une invitation du village et qui s�inscrit, selon nos deux interlocuteurs, dans le cadre du programme de travail de l�APW. Etaient �galement pr�sents � la c�r�monie les P/APC de Bouzegu�ne et Ath-Zikki, les directeurs de l�EPSP et de l�EPH d�Azazga ainsi que beaucoup d�invit�s. Equip�e par la DSP et les bienfaiteurs du village, l�unit� de soins comporte toutes les commodit�s tout en s�av�rant un v�ritable bijou et ce, de l�avis m�me du P/APW qui a rappel� les engagements de l�Etat pour les suites � donner aux dol�ances du village qui attend un autre effort des pouvoirs publics pour parachever le complexe culturel et historique comme le stade qui attend sa normalisation. L�unit� ambitionne ainsi de recevoir un m�decin deux � trois fois par semaine et un dentiste une fois en possession du fauteuil dentaire promis par la DSP, selon le P/APW. S. Hammoum Le port d�Azeffoun retenu pour la construction d�embarcations de p�che Le port d�Azeffoun, 70 km environ au nord-est de Tizi- Ouzou, a �t� retenu par une commission nationale pour sa promotion en p�le r�gional de construction et de r�paration d�embarcations de p�che de diff�rents types et gabarit, a-t-on appris du directeur de la p�che et des ressources halieutiques. Ce projet de p�le r�gional �s�ins�re dans le cadre du plan directeur national du d�veloppement de la p�che et des ressources halieutiques et aquacoles, se fixant pour objectif de satisfaire, � l�horizon 2025, la demande exprim�e en la mati�re par les wilayas de Tizi-Ouzou, B�ja�a, Boumerd�s et Alger�, a indiqu� ce responsable. Pour la concr�tisation de ce projet, il a �t� d�gag� sur le site de ce port une assiette de 11 000 m�tres carr�s, selon la m�me source qui fait �tat du lancement de sa r�alisation, courant 2010, par la soci�t� mixte alg�ro-cor�enne �Socomax� sp�cialis�e dans la fabrication d�embarcations de p�che. La wilaya de Tizi-Ouzou dispose de deux ports de p�che implant�s � Azeffoun et Tigzirt. Le premier, � vocation commerciale �galement, est dot� d�une capacit� d�accueil d�un bateau commercial de 3 000 tonnes de marchandises, cinq sardiniers, cinq chalutiers et 30 petits m�tiers. Le port de p�che et de plaisance de Tigzirt est dot�, quant � lui, d�une flotte constitu�e de cinq sardiniers, deux chalutiers et 24 petits m�tiers. Les infrastructures de p�che de la wilaya seront renforc�es par la r�alisation de trois plages d��chouage d�une capacit� d�accueil, chacune, de 30 petits m�tiers, rappelle-t-on. APS TIZI-GHENIFF Un enfant gri�vement bless� par un sanglier Les sangliers continuent � envahir les villages et douars de la Kabylie.La prolif�ration des ces animaux sauvages et impr�visibles inqui�te de plus en plus les populations locales. Derni�rement, dans la localit� de M�kira, plus exactement au village de Tahachat, dans la da�ra de Tizi-Ghennif, un sanglier a pi�tin� dans sa course folle un enfant �g� de huit ans, le blessant gri�vement, alors que lui et sa famille s��taient rassembl�s pour d�ner tranquillement dans la cour de leur maison. La victime a �t� transport�e imm�diatement vers le service des urgences de l�h�pital Krim-Belkacem de Dra� El-Mizan avant d��tre transf�r� vers le CHU de Tizi-Ouzou o� elle est actuellement hospitalis�e. �A quand la fin de ce calvaire ? Nous souffrons de la multiplication de ces animaux nuisibles. Ils d�truisent nos champs et nous sommes en danger face � ces puissants animaux�, s�interroge cet agriculteur.