Une bonne nouvelle en ces temps moroses : l'Etat revient à l'investissement productif dans un domaine où il n'intervient plus depuis les années 80, laissant l'initiative au secteur privé. Or, la situation réelle sur le terrain montre que, sans l'intervention de l'Etat pour des produits soutenus et sensibles, leur commercialisation restera sujette aux perturbations. Une usine publique produisant un million de litres/jour de lait, voilà la bonne nouvelle. Et il y en a une autre : l'Algérie n'a pas importé un centilitre d'essence et de mazout en 2021. Ce n'était pas normal auparavant et il fallait y mettre un terme, c'est fait ! Mauvaises nouvelles : le peuple s'est appauvri encore et les prix ne cessent de grimper. Autre situation déplorable : les ordures s'entassent partout dans nos villes et villages. La palme revient à Oran. J'ai vu des tonnes de détritus en plein centre-ville, pas loin du consulat espagnol. Olé ! M. F.