Dans un entretien accordé au quotidien Metronews, un média d'information français, Coach Vahid est revenu sur le dernier succès des Verts face au Rwanda (1-0), une victoire qui permet à l'Algérie de se qualifier au 3e tour des éliminatoires du Mondial 2014. «Je suis très heureux et surtout très fier. Il y a eu beaucoup de travail réalisé avec un groupe jeune», dira le technicien national, lors de cet entretien. Le Franco- Bosniaque avait tenu à expliquer le ratage de la CAN 2013, disputée janvier dernier en Afrique du Sud. «On est passé à côté de la CAN parce que l'équipe n'était pas encore prête. Mais c'est peut-être un mal pour un bien, même s'il y a eu beaucoup de critiques», a précisé Halilhodzic, un échec qui avait marqué Vahid au point de songer à jeter le tablier, reconnaissant que sa mission à la tête des Verts n'est guère une sinécure, avant d'être convaincu par Raouraoua, président de la FAF, de terminer son challenge. «Je ne recherche pas la facilité. D'ailleurs, l'Algérie, c'est, pour moi, le challenge le plus dur de ma carrière !», a avoué le sélectionneur national, sachant parfaitement que le plus dur reste à faire. Encore un affrontement en aller retour à bien négocier en barrage et les protégés de Vahid Halilhodzic iront au Brésil. L'ex-Parisien, qui semble toujours garder un œil sur le club de la capitale dira : «Quand j'étais au PSG, j'entraînais un club à la dérive... Maintenant au PSG, tu peux acheter n'importe quel joueur ! Quand je vois toutes les possibilités qu'il y a, je me dis que c'est un autre monde. Maintenant, le PSG doit confirmer sa progression. C'est-à-dire être au moins champion de France mais aussi aller plus loin qu'en quart de finale de Ligue des champions. Ce sera donc très dur pour le successeur d'Ancelotti.» Synthèse