Suite � notre P�riscoop dat� du 11 novembre 2004, nous avons re�u les pr�cisions suivantes de la direction g�n�rale du CTC-Sud. a) L'article cit� en r�f�rence met en doute le visa du CTC alors qu'il s'agit d'une erreur de r�alisation imputable � l'entreprise, en premier lieu, et au bureau d'�tudes charg� du suivi du projet (surveillance des travaux), en second lieu. Le visa du CTC porte sur l'�tude technique du projet (plans d'ex�cution) et non sur la r�alisation. Pour mettre en doute le visa du CTC sur un projet il faut pr�tendre avoir fait les calculs de v�rification et d�montrer que le projet n'est pas calcul� conform�ment aux normes en vigueur. Nos techniciens se sont d�plac�s sur les lieux et apr�s examens il ressort que les piliers de l'�tage et ceux du RDC ne pr�sentent pas de d�saxement compte tenu de leur section initiale rest�e constante. La remarque faite porte sur un l�ger d�bordement du b�ton survenu lors du coulage du plancher. Ce d�faut esth�tique a �t� d�j� signal� auparavant par nos techniciens et ne pr�sente aucun risque pour la stabilit� de l'ouvrage, n�anmoins l'entreprise a entam� les r�fections n�cessaires avec notre concours. b) Le r�le du CTC ne doit pas �tre confondu avec celui du ma�tre de l'ouvrage, du ma�tre de l'œuvre et de l'entreprise de r�alisation. D'ailleurs, la convention de contr�le du CTC le pr�cise explicitement. Le CTC porte son visa technique sur l'�tude de l'ouvrage (plans d'ex�cution) et non sur la r�alisation. Le CTC fait des visites de contr�le inopin�es ou � la demande des diff�rents intervenants dans le projet pour r�gler un �ventuel probl�me technique. Je pr�cise que le ma�tre de l'œuvre est charg� de la surveillance permanente de la r�alisation (suivi) pour assurer la conformit� de l'ex�cution et que l'entreprise est charg�e de r�aliser l'ouvrage dans les r�gles de l'art et conform�ment aux plans vis�s par le CTC. Le pr�sident-directeur g�n�ral