Le premier Salon national de la microentreprise innovante, qui s'est déroulé durant une semaine au niveau de la Bibliothèque nationale d'El Hamma, s'est clôturé hier par la signature d'une convention de coopération entre l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) et l'Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet). Les objectifs de cet accord «sont de définir le cadre de coopération entre l'Ansej et l'Anvredet en vue d'encourager et de soutenir la création de micro-entreprises innovantes». A ce titre, les deux parties s'engagent à mettre «en œuvre tous les moyens nécessaires permis par la réglementation, créer un cadre de confiance et de partenariat privilégié susceptible de promouvoir l'entrepreneuriat et le développement de start-ups, d'entreprendre toute démarche tendant à enrichir les expériences dans ce domaine, agir d'un commun accord pour développer les synergies requises et mobiliser les moyens humains et matériels pour concrétiser les actions tendant à converger vers l'objet de la présente convention». Selon le département du travail, de l'emploi et de la sécurité sociale, «la promotion et la valorisation économique de l'innovation sont les déterminants essentiels de la compétitivité des économies modernes. Elles favorisent le rapprochement entre les universités, les structures de valorisation, les organismes de recherche, les incubateurs et les institutions d'accompagnement et d'appui à la création et au développement d'entreprises dans une dynamique de développement ». «La concrétisation des projets innovants comporte des spécificités liées aux besoins particuliers qui leur sont associés. Leur accompagnement nécessite une maîtrise des aspects, notamment techniques, économiques et réglementaires», a-t-on indiqué.