Inflation : la faute aux �migr�s ? Avec la d�valuation critique de notre dinar par rapport � l'euro, les �migres alg�riens se frottent les mains � chaque arriv�e des vacances, par contre, les Alg�riens vivant en Alg�rie payeront tr�s cher les fruits, l�gumes, viandes, et cela suite � la demande qui monte en fl�che (rapport de l'offre et de la demande). Les �migres ne participent pas au d�veloppement de leur pays, par contre, ils sont l� � nous provoquer des inflations dans tous les secteurs : achats d�appartements, villas, magasins, terrains, etc. (m�me les articles scolaires, fruits secs, huile d�olive, v�tements � un prix symbolique). A leur retour, ils louent leur immobilier � un prix fort. Nous Alg�riens vivant dans notre pays, on ne peut pas vivre � ce rythme. Avec nos salaires, on ne peut se permettre d'acheter une maison ou de manger convenablement. Nos gouvernants doivent s�rieusement se pencher sur ce probl�me car ceux qui profitent de la richesse du pays vivent ailleurs. Avec une monnaie forte, plus d'inflation et les Alg�riens seront �gaux (�migr�s et non �migr�s) Ali Z. Les m�disants Ils se retrouvent le vendredi matin dans le caf� du coin, pr�textant siroter un caf�, dans l�attente de la pri�re de la Djamouha, pour se d�lecter des �derni�res nouvelles � et des m�saventures des uns et des autres. Leur langue est bien ac�r�e et ils m�disent, diffament et propagent des ragots qui meubleront le vide sid�ral culturel de la houma jusqu�au week-end prochain, la nature ayant horreur du vide, diton. Apr�s la pri�re et la sieste, ils se retrouvent, adoss�s au mur jouxtant la houma, �piant les faits et gestes et inventant des secrets � chacun des voisins qui passent et qui ne participent pas � ces orgies �ragoti�res� hebdomadaires. C�est encore une cons�quence de la d�sertification culturelle d�o� le banal de la vie des gens qui font �mener aux d�pens de leurs voisins une existence parasitaire�. (Jo� Bousquet). M. Benrebiai Les parias du logement ou les avatars d�une demande Class�es LS de 1992 � 2001, elle devient LSP de 2001 � aujourd�hui et comme les prix impriment aux salaires un mouvement vers le bas, ma demande et celles qui comme la mienne se retrouveront rapidement class�es � nouveau LS. Mais il y a un autre classement ; celui l� est permanent c�est : ni l�un ni l�autre. Et comme le disait un pr�sident d�APC assailli par ses administr�s : vous aurez tous votre chambre au� cimeti�re. Et dire que je suis � un pas de ma retraite. A�nouche B, Oued-koreiche, Alger Ce p�trole qui enivre ! Diarmid O'Sullivan, de l'ONG Global Witness, disait, lors d'une conf�rence � l'Institut sud-africain pour les affaires internationales (SAIIA), � propos de la mauvaise utilisation des recettes p�troli�res en Afrique, que �la richesse p�troli�re peut �tre l�g�rement toxique, comme l'alcool. Si l'on a pas une constitution solide, elle tend � vous rendre instable�. Ce n�est certainement pas le peuple, qui doit trimer dur pour gagner, � la sueur de son front, sa pitance, qui risque l�intoxication. Mais � voir le rythme fou des importations et des containers qui d�filent, il ne faut pas �tre grand clerc pour deviner ceux qui sont en perp�tuelle �bri�t�.