Quelqu�un semble avoir jet� le mauvais sort sur l�Institut du froid de Oued- A�ssi, encore une fois, en gr�ve illimit�e depuis le 25 octobre. Environ 800 stagiaires protestent � nouveau pour les m�mes probl�mes rapport�s dans notre �dition du 5 avril 2008. Rien n�a chang� depuis l�an dernier si ce n�est une am�lioration de courte dur�e de la restauration, le temps de faire passer l�orage en attendant aussi un contr�le redout� de la tutelle suite au mouvement de protestation, selon les repr�sentants de stagiaires re�us en notre bureau. Ce probl�me n�est que l�exemple d�une gestion opaque et d�ficiente d�un �tablissement qui a tous les moyens pour �tre parmi les meilleurs sinon en t�te de la m�me cat�gorie au niveau national. Le budget allou� � la restauration, � titre d�exemple, serait, d�apr�s les m�me sources, amplement suffisant pour une alimentation suffisante et �quilibr�e du personnel et des stagiaires, l��quipement n�cessaire � une formation pratique de qualit� serait disponible mais stock� loin de la port�e des stagiaires auxquels il est destin�. C�est le cas des microordinateurs et de l�internet, op�rationnels uniquement au niveau l�administration. Les trois micros de la biblioth�que et ceux, de m�me nombre, au niveau de l�automatisme et r�gulation, par exemple, ne sont l� que pour le d�cor. Le manque de mat�riel touche l�ensemble des sp�cialit�s. Il s�agit l�, dit-on, d�une r�tention visant un objectif antip�dagogique : dispenser une formation au rabais, contraire � la mission de l�INSFP et aux efforts que d�ploie la tutelle. L�am�nagement des salles, de la biblioth�que, du foyer d�pourvu du minimum, de la salle de sport, les activit�s culturelles et sportives, l�hygi�ne, les intimidations, les exclusions et autres sanctions arbitraires� figurent parmi les dol�ances des stagiaires en gr�ve qui souhaitent ardemment l�intervention de la tutelle minist�rielle en vue de lever tous les obstacles qui g�nent le fonctionnement harmonieux et le plein rendement de l��tablissement. B. T. TIZI-GHENIFF Enfin le rev�tement du CW48 En effet, c'est lundi dernier qu�ont �t� entam�s les travaux de rev�tement de ce chemin en b�ton bitumineux sur ses six kilom�tres de longueur, chose qui n�a pas �t� faite depuis plus de vingt ans. Il relie le chef-lieu aux villages susnomm�s mais aussi Bouira, Boumerd�s et Alger, d�o� son importance. C'est l'une des routes les plus oubli�es de la commune, elle �tait dans un �tat de d�labrement tel que les usagers de la route et les transporteurs l��vitaient. Enfin il convient de signaler que ce projet tant attendu est pris en charge par l'entreprise Slimana.