Le 23 d�cembre, � 9h, 19 partenaires sociaux venus de divers secteurs �conomiques et publics se sont donn� rendez-vous pour participer � un rassemblement devant le si�ge de l�UGTA, d�non�ant les agissements du secr�tariat g�n�ral de l�union de wilaya g�r� par M. Beldjillali Ali. Cette d�marche a �t� frein�e par M. Belagra� Me�abih, le directeur de la Munatec, qui a pr�f�r� r�soudre cette situation par le dialogue. Ainsi, dans la m�me journ�e, le syndicat de wilaya s�est scind� en deux groupes qui se sont r�unis l�un au si�ge de l�UGTA, l�autre � l'h�tel Munatec. Les deux rivaux ne s�entendent plus depuis que M. Beldjillali a d�pos� plainte contre M. Belagra�, en lui retirant, par la m�me occasion, sa charge de secr�taire g�n�ral du secteur de l��ducation pour le motif de mauvaise gestion, et m�me un retrait de confiance lui a �t� notifi� par le conseil de l�UGTA. Le tribunal administratif a par la suite ordonn� � M. Belagra� de restituer les clefs du local et le cachet humide du syndicat. Le secr�taire g�n�ral du secteur de l��ducation se dit �tre la cible d�une machination orchestr�e par le secr�taire g�n�ral de l�UGTA, mais continue � �uvrer en sa qualit� de secr�taire g�n�ral, il a m�me �t� promu par la tutelle pour g�rer l�h�tel de la Munatec. Il re�oit du courrier, au titre de secr�taire g�n�ral de la FNTE, de la direction de l��ducation et des pouvoirs publics, alors qu�un autre membre de l��ducation a �t� �lu � main lev�e pour lui succ�der. Ce bras de fer a pour origine la composante d�un bureau compos� de 7 membres appartenant tous au corps de l�enseignement pour pr�parer le congr�s qui devrait se tenir � la fin de l�ann�e. M. Bellagra� s�offusque de la composante de cette liste, et se demande o� sont pass�s les partenaires des autres secteurs qui devraient imp�rativement y figurer. Les versions des deux cadres syndicaux sont contradictoires et seule la Centrale syndicale peut mettre fin � cet imbroglio.