Au moment où la sardine se fait rare, et où son prix a dépassé la barre des 350 DA, l'aquaculture demeure l'une des opportunités qui pourraient freiner l'ampleur de cette problématique. Les autorités, par le biais du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, manifestent un intérêt accru au volet des produits de la mer, avec pour objectif de produire plus pour un marché dont la demande ne cesse d'augmenter.