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Mère à 20, 30 ou 40 ans, ce que ça change
Publié dans Le Temps d'Algérie le 27 - 07 - 2009

Et si vous aviez eu votre enfant dix ans plus tôt… ou plus tard ? Auriez-vous été plus insouciante ou plus sereine ? Bien sûr, la façon d'être mère n'est pas la même, ni les attentes et les projections, au sortir de l'adolescence, à 30 ans ou à l'approche de la ménopause.
Les femmes qui ont eu des enfants à ces différents âges sont les seules à pouvoir démêler ce qui relève de leur personnalité de ce qu'elles ont acquis avec la maturité.A celles qui ont classiquement mis au monde leurs «deux enfants en moyenne» autour de la trentaine – et qui se demandent si elles auraient été moins stressées à 20 ans ou si elles seraient assez patientes après 40 –, ces mères extraordinaires répondent que l'âge ne change pas grand-chose à la manière d'éduquer.
20 ans : Se détacher de sa mère
«Tomber» enceinte à cet âge-là correspond souvent à un désir de s'assurer que «ça marche». Certaines avortent, d'autres choisissent de mener leur grossesse à terme. Accueillir un enfant lorsque l'on est très jeune, c'est bien sûr se poser de personne à personne face à sa mère, mais c'est aussi «passer de l'état de fille à l'état de mère sans passer par celui de femme.
Plusieurs de ces jeunes mamans se souviennent de grossesses confiantes, ludiques, et racontent un grand bonheur de materner et d'élever. Les enfants grandissent avec elles, ils les aident à se trouver. Maman grande sœur ou maman bien dans son rôle, tout dépend des jeunes femmes. Et presque toujours, c'est l'arrivée d'un petit frère ou d'une petite sœur qui permet à l'aîné de prendre un peu d'air, et sa place dans la succession des générations.
30 ans : Une maternité protégée
L'enfant de la trentaine serait celui du choix amoureux, adulte, féminin. C'est bien souvent à cette période que les relations avec la mère sont le plus apaisées. C'est donc à cet âge que, psychiquement, la maternité peut être la mieux vécue. La relative «sécurité» psychologique mais également affective et matérielle d'une femme de 30 ans la mettrait davantage à l'abri de l'envahissement maternel ou de l'intrusion.
Cette femme est censée être ancrée dans sa féminité. A ce moment, le désir partagé d'un enfant va être un beau moment de la vie. Les trentenaires se sentent dans leur splendeur. Le regard de la société et des proches les installe comme des mères qui savent, capables de faire les bons choix, protégées des pressions que subissent les «trop» jeunes, soupçonnées d'immaturité, et les «trop» vieilles, accusées de se faire plaisir.
40 ans : L'ombre de la ménopause
A cet âge-là plane l'ombre de la ménopause, qui est déjà le lot de leur mère. Ce sont des grossesses où l'angoisse de la mort est beaucoup plus prégnante. Nombreuses aussi sont celles qui ont déjà assouvi leur désir de procréation, mais se pose la question d'un petit dernier. Les femmes plus âgées sont connues, dans toutes les civilisations, pour montrer un amour plus tendre aux derniers-nés. Souvent, elles estiment que cet enfant a bénéficié de la meilleure maman.
Leur fatigue et le relâchement de certains principes éducatifs sont compensés par la présence d'aînés, qui font office d'initiateurs, un peu comme dans une tribu. Plus que de surinvestissement, elles témoignent d'une forme de «détachement bienveillant, de patience, d'humour» qu'elles n'avaient pas forcément avec les aînés.


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