Après l'accord conclu sur la répartition du pouvoir en Irak, le Premier ministre Nouri Al Maliki tiendra une séance au Parlement en vue de la formation de son nouveau gouvernement. Le camp d'Iyad Allaoui dénonce le non-respect de ses engagements. Washington, Londres et Paris ont tour à tour salué l'accord portant sur la répartition des pouvoirs en Irak, entériné jeudi, qui devrait mettre fin à huit mois d'impasse politique. Le Premier ministre sortant, Nouri Al Maliki, doit s'atteler à la formation du nouveau cabinet, mais des points de blocages persistent. Cet accord de partage des pouvoirs constitue «un pas en avant important et j'exhorte l'Irak à conclure rapidement le processus de formation d'un gouvernement qui représente tous les Irakiens», a déclaré vendredi le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, dans un communiqué.