Une étude réalisée par un chercheur du laboratoire de biologie de l´université de Tizi Ouzou a montré que les noyaux d´olives, déchet solide résultant de la trituration de ce fruit, présente des qualités biologiques avérées pour son utilisation dans la culture du champignon de couche. L´application de cette voie pour la valorisation de cette matière organique permettra, selon son auteur, de produire des champignons ainsi que de préserver l´environnement de la pollution par cet effluent de l´industrie oléicole, dont des tonnes sont rejetées, chaque hiver, dans la nature, particulièrement le long des cours d´eau.