Des faits curieux ont été relevés en lien avec les attentats contre le World Trade Center (WTC) à New York, en 2001 (11 septembre), l'affaire Merah à Montauban et Toulouse (France, en mars 2012), Charlie Hebdo à Paris (7 janvier 2015) Stade de France à Saint-Denis (13 novembre 2015) dans la découverte - outre de papiers d'identité de présumés terroristes - d'agents de l'intelligence israélienne (Mossad) à proximité de chacun des lieux cités. Autre fait tout aussi intéressant: les médias israéliens ont été les premiers - avant même la police et les médias locaux - à donner les noms des présumés terroristes, notamment dans l'attaque du journal Charlie Hebdo. Ce sont là d'étranges coïncidences par trop «coïncidentes» pour être honnêtes ou ne pas être notées. En 2001, rappelle-t-on, les premiers «suspects» arrêtés en relation avec les attentats de New York ont été les «cinq Arabes dansants» [tels que présentés par les médias états-uniens] qui donnaient l'impression de célébrer l'explosion des tours new-yorkaises tout en filmant le brasier du WTC. Or, il s'est avéré que c'était des Israéliens, dont au moins deux appartiendraient au Mossad. Ces Israéliens ont été renvoyés dans leur pays sans autre forme de procès et sans avoir été (réellement) interrogés. 200 autres Israéliens, qui se révélèrent être des espions, seront à leur tour arrêtés puis renvoyés chez eux sans qu'il ait été estimé opportun d'approfondir les raisons de leur présence aux Etats-Unis. Etonnant donc le peu de curiosité que montrèrent le FBI et la CIA, qui ne voulaient pas trop en savoir sur ces étranges «touristes» israéliens. Trois personnes du groupe des «cinq dansants» indiquèrent de retour en Israël à une télévision locale «Notre but était d'enregistrer l'événement»??? Des rumeurs ont aussi circulé quant à la présence suspecte de personnages qui auraient «supervisé» les attentats cités en référence. Il y eut ainsi des simultanéités trop propices pour ne pas susciter l'interrogation. Y aurait-il un «Israël en connexion?». Ce qui ne serait pas surprenant au regard des capacités de l'Etat hébreu à provoquer l'irréparable. En fait, l'ancien président italien, Francisco Cossiga (1985-1992), affirma sans ambages le 30 novembre 2007 au Corriere della Sera: «On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l'attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York - alors qu'en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d'accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l'Irak et l'Afghanistan.» Ainsi, plusieurs attentats ou tentatives d'attentats ont été incités et/ou commandités par Israël pour charger les musulmans en général, les Arabes et les Palestiniens en particulier. C'est le cas de l'attentat de Buenos Aires de 1992 dont le Hezbollah libanais en fut aussitôt accusé par Israël. Toutefois, la Cour suprême argentine confirma la thèse de l'explosion intérieure dans l'immeuble, contredisant Israël. Marri, le porte-parole de l'ambassade d'Israël accusa les juges d'antisémitisme. En janvier 2000, la sécurité indienne arrêta à Calcutta un groupe d'«islamistes» soupçonnés d'appartenir à Al Qaîda. Ceux-ci se présentèrent comme étant des Afghans. Or, il s'avéra que tous possédaient un passeport israélien. Israël a fait des pressions considérables sur l'Inde pour les récupérer. Autre exemple, l'étrange déroutement du USS Cole, sur Aden au Yémen où il fut la cible d'un attentat. L'équipe des enquêteurs du FBI finit par suspecter Israël d'avoir tiré un missile depuis un sous-marin: le trou était en effet indicatif d'une charge perforante, que ne pouvait expliquer l'attentat à l'explosif. Dès que le nom d'Israël fut cité, le chef de l'équipe du FBI a commencé à avoir des ennuis avec sa hiérarchie jusqu'à sa démission. Il s'engagea dans les services de sécurité du WTC. Il comptera parmi les victimes de l'attentat. Mystère? Lors des attentats aux Etats-Unis on ne retrouva pas des boîtes noires réputées indestructibles, mais on découvrit le passeport, légèrement écorné par le feu, d'un présumé terroriste. Anormal? Que dire d'un terroriste, Saïd Kouachi (affaire Charlie Hebdo) dont le «professionnalisme» a été signalé, qui oublie étourdiment, sa carte d'identité sur les lieux du drame? Selon la chaîne Russia Today, l'éditeur en chef de la chaîne israélienne IBA Channel 1, Amchai Stein était sur les lieux du crime et postait des photos de la fusillade. Que dire encore du passeport d'un Syrien récupéré près d'un des kamikazes du Stade de France? A raison, un confrère écrivait avec dérision que «le paradoxe de papiers d'identité recouvrés sur les lieux des crimes est devenu un classique». Sans commentaire!