Les engagements pris à la réunion sur le réchauffement climatiques COP 21 n'entraveront pas l'activité industrielle en Algérie qui doit, cependant, "arracher sa part de financement", a souligné le directeur du Centre de développement des énergies (CDER), Noureddine Yassaa. "Cet accord n'est pas contraignant par rapport à la politique nationale en matière de développement industriel du pays", assure M. Yassaa qui a participé à l'élaboration de la Contribution algérienne à la COP 21.