Le Koweït, pays hôte des négociations inter-yéménites, a donné un ultimatum de 15 jours au gouvernement et aux rebelles houthis pour conclure un accord de paix ou quitter le pays, en proie à des violences quotidiennes, alors que l'ONU appelle les parties en conflit à saisir cette dernière chance. Les négociations, parrainées par les Nations unies, avaient commencé le 21 avril mais aucun accord ne s'est dessiné depuis entre le gouvernement yéménite, soutenu par une coalition arabe conduite par l'Arabie saoudite et les rebelles houthis.