Lors d'une rencontre organisée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière en collaboration avec l'Unicef sur la stratégie nationale de réduction de la mortalité néonatale, le représentant onusien a indiqué que l'Algérie disposait «des compétences et moyens nécessaires» pour réduire la mortalité chez cette catégorie qui représente 80% du taux global de la mortalité infantile (16.000 décès/an) à moins de 20 décès pour chaque 1000 naissances vivantes dans le cadre de cette stratégie, rappelant que l'ensemble des organismes onusiens accompagnait le gouvernement algérien à l'effet de réaliser cette démarche.