Le PDG de Facebook Mark Zuckerberg répondra mardi et mercredi pour la première fois aux questions des parlementaires américains, très remontés contre le réseau social, sur fond de pressions grandissantes en faveur d'une plus grande régulation du secteur. Face au tollé, le fondateur du groupe empêtré dans les scandales, a bien dû se résoudre à aller en personne à Washington pour une série d'auditions très attendues. Déjà dans le collimateur de plusieurs commissions parlementaires depuis des mois, M. Zuckerberg, auquel certains ont un temps attribué des ambitions présidentielles, avait fin 2017 envoyé son directeur juridique pour s'expliquer.