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La sixième guerre d'Israël est-elle la dernière?
PROCHE-ORIENT
Publié dans L'Expression le 28 - 08 - 2006

«Tant qu'il y aura un déploiement armé israélien, une agression israélienne sur le terrain et des soldats israéliens occupant notre territoire, il est de notre droit naturel de les combattre et de défendre nos terres, nos maisons, et nous-mêmes.»
[Cheïkh Hasan Nasrallah, chef de la Résistance armée libanaise Hezbollah].
La sixième guerre entre Israël et une milice nationaliste libanaise ne s'est pas déroulée pour Israël et son allié de toujours, les Etats-Unis, comme prévu, c'est-à-dire par l'écrasement de l'adversaire. Les résistants libanais ont infligé une défaite morale à Israël qui, pour la première fois, est pris de doute quant à son invulnérabilité. Ce que n'ont pas pu faire des Etats arabes gouvernés d'une façon illégitime au point de se retrouver défaits en quelques jours d'une façon expéditive par Israël, des résistants libanais qu'on traite à tort de la mouvance d'Al Qaîda, ont montré à la face du monde et principalement aux Américains, Israéliens et Européens que réoccuper le Liban n'est pas une partie de plaisir. De combien de jours avez-vous besoin -sous-entendu pour démolir le Hezbollah-? aurait dit Sarkozy au début de l'invasion à un ministre israélien. Ce ne fut pas une question de jours, ou de semaines, délai demandé par Israël aux Américains qui ont usé de leur force pour bloquer une résolution de l'ONU, pour donner du temps à Israël. Rien n'y fit, les combattants du Hezbollah ne se résignaient pas à mourir ou à se rendre. Au contraire, ils se battirent en hommes partout, malgré le déluge de bombes, malgré les armes interdites par les conventions internationales.
On l'a souligné, depuis le 11 septembre, un débat agite les responsables politiques: dans la guerre contre le terrorisme, dans l'affrontement entre «la civilisation» et «la barbarie», le droit international, le droit humanitaire, peuvent-ils s'appliquer? Le président George W.Bush a instauré une nouvelle catégorie, celle d'«ennemis combattants», qui ne sont pas justifiables des procédures légales, et que l'on peut enfermer à Guantanamo, voire torturer, au nom de la défense de «la civilisation».(2)
Pour certains intellectuels néoconservateurs, parfois issus du Parti démocrate, la mobilisation «patriotique» a toujours joué un rôle important de cohésion sociale. Avec les années 1970 et la «détente», ces faucons se sont donc inquiétés de la moindre réduction des tensions internationales. Depuis le 11 septembre 2001, tout va bien pour eux...(3)
De plus, le moteur de leur action est la haine qui ne doit pas s'embarrasser des droits de l'homme. Alain Gresh écrit à ce propos: «John Podhoretz, un des théoriciens néoconservateurs américains, s'interroge dans un article du New York Post du 25 juillet»: «Est-ce que les démocraties libérales n'ont pas évolué à un point où elles ne peuvent plus mener de guerres efficaces à cause du niveau de leurs préoccupations humanitaires pour les autres... ?» Et il poursuit: «Et si notre erreur tactique en Irak était que nous n'avions pas tué assez de sunnites au début de notre intervention pour les intimider et leur faire tellement peur de nous qu'ils accepteraient n'importe quoi? Est-ce que ce n'est pas la survie des hommes sunnites entre 15 et 35 ans qui est la raison de l'insurrection et la cause fondamentale de la violence confessionnelle actuelle?» Tuer tous les hommes entre 15 et 35 ans, c'est ce que les milices serbes ont fait à Srebrenica.(2).
Podhoretz demande implicitement à Israël de ne pas se préoccuper du droit international pour vaincre: «Est-ce que c'est un terrifiant paradoxe de l'art de la guerre au XXIe siècle? Si Israël et les Etats-Unis ne peuvent être défaits militairement au sens conventionnel, est-ce que nos ennemis ont découvert un nouveau moyen de gagner? Est-ce qu'ils ne cherchent pas la victoire à travers notre démoralisation seulement, en nous mettant au défi d'atteindre leur niveau de barbarie et en sachant que nous ne le ferons pas? (...) Serait-il possible que la grandeur morale de notre civilisation -son étonnante attention à la valeur de l'individu- ne mette pas en cause aussi l'avenir de notre civilisation?»(2).
En France, ces idées sont celles des intellectuels communautaristes inconditionnels d'Israël. Voici bien longtemps qu'Israël n'existerait plus s'il ne réagissait pas avec démesure, affirme Claude Lanzmann, dans Le Monde du 4 août, reprenant l'argument développé par Bernard-Henri Lévy. Tous les deux semblent pense qu'elles ne peuvent s'appliquer qu'aux «civilisés». On retrouve là l'argumentation qui prévalait à l'époque de la colonisation triomphante. En 1898, Heinrich von Treischke, un expert en sciences politiques, soutenait ce qui, pour nombre de ses contemporains, apparaissait comme une banalité: «Le droit international ne devient que des phrases si l'on veut également en appliquer les principes aux peuples barbares. Pour les ´´barbares´´ d'aujourd'hui, pour l'essentiel des Arabes, on peut user de bombardements massifs, indiscriminés, de bombes à fragmentation, ils ne comprennent pas un autre langage.»(2)
Comment peut-on croire à une paix dans le monde quand des organisations sionistes appellent à la guerre? Ainsi Le Jerusalem Post publie, le 7 août 2006, un encart publicitaire du New Right Movement, un organe de la communauté loubavitch. Sous le titre «Nous avons besoin d'un changement décisif d'attitude!», Non au cessez-le-feu [au Liban]! Non à une force internationale de maintien de la paix! Oui à une destruction totale de toutes les zones d'où des roquettes sont lancées! Ce mouvement exige que Tsahal force Téhéran à se soumettre, ce qui implique le bombardement non-conventionnel (c'est-à-dire nucléaire) de tous les sites militaires et nucléaires civils du pays. Le tout est assorti des bénédictions du rabbin Shmuel Shmueli.(3)
Défaite morale
A côté de ces va-t-en guerre, il se trouve, heureusement, des Israéliens contre la politique d'Israël. S'adressant à ses concitoyens israéliens, Gideon Levy, chroniqueur du quotidien Ha'aretz, dénonce le voile de haine qui obscurcit leurs yeux et les empêche de voir les crimes commis en leur nom à Ghaza et au Liban.(7). À la guerre comme à la guerre: Israël va s'enfonçant dans une atmosphère nationaliste véhémente et l'obscurité commence à tout recouvrir....Israël montre un visage uniforme, nationaliste. La destruction que nous semons au Liban ne touche quasi personne et elle n'est, pour l'essentiel, même pas montrée aux yeux des Israéliens.. Haïm Ramon, ministre de la Justice «ne comprend pas» comment il y a encore de l'électricité à Baalbek.(7)
Quelle que soit l'issue de la guerre du Liban, plus rien ne sera plus comme avant, on a beau dire à tort ou à raison que les Iraniens étaient derrière, c'est possible en ce qui concerne l'armement, mais ce ne sont pas les Iraniens qui se sont battus, ce ne sont pas eux qui ont accepté le corps à corps à Bint Djbaïl, contre un ennemi armé technologiquement jusqu'aux dents. Cette défaite morale était prévisible depuis longtemps, les militaires israéliens ont donné l'impression aux Israéliens que le pays était sanctuarisé. Ils découvrent que le Hezbollah n'a pas baissé la garde et a rendu coup pour coup donnant un aperçu tragique de ce qu'est que la terreur au quotidien des Libanais- aux habitants du Nord d'Israël. Nul doute que des révisions déchirantes seront faites en Israël et que, peut-être, cette leçon à nulle autre pareille, fera entendre la raison et qu'enfin un gouvernement accepte de vivre avec ses voisins en restituant les territoires en échange de la paix.
Pour Mike Witney, le cessez-le-feu ne règle rien, c'est un cheval de Troie. Ecoutons-le: «La conclusion d'un accord de cessez-le-feu de l'Onu est concoctée par les amis d'Israël au sein de l'administration Bush qui attendaient [avec l'insoutenable patience que l'on sait] une opportunité diplomatique susceptible de permettre à Olmert de se tirer honorablement de la plus grande débâcle essuyée par Israël depuis la guerre d'Octobre 1973. Ce soi-disant cessez-le-feu est taillé sur mesure pour empêcher la victime de l'agression israélienne de se défendre, en donnant au contraire à l'armée israélienne le sauf-conduit lui permettant de poursuivre ses dévastations. La puissante armée israélienne a reçu une torgnole magistrale de la part d'une poignée de guérilleros fortement motivés, qui ont maintenu Tsahal clouée au sol dans un rayon de cinq minuscules kilomètres au nord de sa frontière, durant un bon mois. C'est assurément l'un des plus grands triomphes de toute l'histoire des conflits asymétriques».(4)
Après avoir bombardé aveuglément, en totale impunité, des infrastructures civiles vitales au Liban. Le Premier ministre Olmert, le ministre de la Défense Péretz et le chef d'état-major Dan Halutz sont les cibles de critiques incandescentes dans la presse israélienne, à très juste titre. L'éditorialiste Ari Shavit, du quotidien Ha'aretz, a résumé ainsi l'état d'esprit de la population israélienne: «Une chose devrait être très claire: si Olmert déserte maintenant la guerre qu'il a déclenchée, il ne pourra pas rester Premier ministre un jour de plus. Même la chuzpah (légendaire culot à la mode israélienne) a des limites...On ne peut conduire toute une nation à la guerre en lui promettant la victoire, causer une défaite humiliante et rester au pouvoir. L'éditorialiste Moshe Arens ajoute: La tâche à laquelle Israël est désormais confronté c'est de restaurer sa puissance de dissuasion.» Nous y voilà, la haine est tenace.
On peut attribuer à George Bush le plus gros de ces destructions. Il a accéléré la livraison de bombes high-tech à ses amis de Tel Aviv, veillant à ce que le massacre ne connaisse aucune interruption. Il a, parallèlement, bloqué toutes les résolutions de cessez-le-feu à l'Onu, ce qui a permis à Israël de poursuivre ses bombardements apocalyptiques au Liban. L'accord de cessez-le-feu a été manifestement rédigé en étroite collaboration avec Israël. Il autorise l'armée israélienne à poursuivre ses «opérations défensives» alors qu'il est exigé du Hizbullah qu'il cesse le combat. Israël interprète ceci comme un feu vert pour poursuivre le Hizbullah de manière offensive....Quant au Shaikh Nasrallah, il a résisté à la tentation de la traditionnelle rhétorique enflammée, et il a apporté la démonstration de l'efficacité mortelle du Hezbullah sur le champ de bataille, où et quand il le fallait. Les guérilleros ont remporté le combat d'homme à homme contre Tsahal et ils ont cloué au sol la quatrième armée du monde...Nasrallah ne nourrit absolument pas la folle idée de défaire l'armée israélienne ou d'envahir Israël. Non. Nasrallah est un chercheur avisé en matière de guerre asymétrique, et il sait bien exploiter les vulnérabilités d'une armée régulière, et aussi les vulnérabilités de l'opinion publique israélienne (qui est déjà en train de tourner au vinaigre au sujet du conflit). Nasrallah a dit qu'il respectera les termes du cessez-le-feu, mais qu'il ne désarmera pas [le Hezbullah] tant que l'armée libanaise et les forces de l'Onu ne seront pas positionnées, et tant que l'armée israélienne ne se sera pas retirée du territoire libanais.(4)
Par ailleurs, des voix commencent à s'élever en Europe contre la politique israélienne. Après la Suisse qui a accusé Israël de bafouer la convention de Genève, le ministre italien des Affaires étrangères a dénoncé la politique américaine au Moyen-Orient et déclare que la politique de Washington vise à soutenir Israël et à créer une impasse politique dans la région. Dans un entretien publié le 25 août par le quotidien Haaretz, il a déclaré que cela fait désormais des années que les Etats-Unis ont prédit la mort des Nations unies. La politique offensive américaine au Moyen-Orient qui se dessine en collaboration étroite avec le régime sioniste, est vouée à l'échec.
Que peut-on dire en conclusion? Pour la première fois, l'Arabe relève la tête. Nasrallah -un nom prédestiné-, le martien celui que les gouvernants n'attendaient pas est devenu par la force des choses le Mehdi toute proportion gardée Moul assa'a: «l'Homme de l'Heure». Pour la première fois, le Moyen-Orient a une perspective de paix maintenant que l'arrogance d'Israël l'a contraint -il faut l'espérer- à relativiser plusieurs paramètres et de faire des révisions déchirantes notamment en ce qui concerne la sanctuarisation d'Israël. Il est vrai qu'il a fallu 1200 morts, un Liban détruit, des milliers de Libanais traumatisés, des milliers d'enfants choqués à vie et près de 10 milliards de dollars de dégâts grâce à un gouvernement ni de droite ni de gauche, les deux Perez et Peretz s'étant fourvoyés, ce dernier qui a aussi la nationalité marocaine est en principe jugé au Maroc pour crime de guerre. L'autre, «le sage», qui a été de tous les gouvernements depuis cinquante ans et bien qu'il soit encensé par BHL est coresponsable du massacre et de la débâcle morale d'Israël. Lui, l'homme du Prix Nobel de la paix....des cimetières, a définitivement perdu la face.
Rien ne sera comme avant
S'agissant de la Finul, elle aura, selon toute vraisemblance, au plus 10.000 hommes (7000 hommes proviendraient de l'Europe et le reste des pays musulmans de l'Asie (Malaisie, Bangladesh, Indonésie), son mandat n'est toujours pas clair. Israël demande à ce que le Hezbollah soit désarmé, Kofi Annan a déclaré à Bruxelles, le 25 août 2006, que ce n'était pas le rôle de la Finul. De plus, est-ce que la Finul pourra se déployer contre la frontière libano-syrienne pour faire le travail d'Israël, à savoir interdire le ravitaillement en armes du Hezbollah? Si elle ne le fait pas Israël pourra ré-intervenir. Naturellement, pas un mot des fermes de Scheba, de la levée du blocus qui asphyxie le Liban et des prisonniers libanais.
Plus rien ne sera désormais comme avant. Les chefs d'Etat arabes sont plus inquiets que jamais. Il n'est que de voir leur silence assourdissant. L'Arabie Saoudite, l'Egypte et la Jordanie ayant condamné le Hezbollah au début. Par la suite, il y eut un virage à 180°. La Ligue arabe n'ayant plus de magister moral est politiquement morte. Les pays qui la composent ont des dirigeants qui, pour la plupart, sont illégitimes, parvenus au pouvoir par la force ou la ruse. Cependant, que l'on ne s'y trompe pas: le potentiel destructif est intact et il y a, comme nous l'avons écrit, des revanchards mus par la haine attisée par des intellectuels communautaristes, notamment en France qui ont encore une capacité de nuisance qui risque de compromettre la paix.
1.Alain Gresh: La fin du droit international? 16 août 2006 www.millebabors.org.
2.Phillipe Golub: Métamorphoses d'une politique impériale Le Monde diplomatique 03 2003.
3.New Right Movement: Jerusalem Post. 7 août 2006
4.Mike Whitney: Cessez-le feu, ou cheval de Troie? Alter Info Vendredi 25 Août 2006


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